Alors que les vaccins contre le Covid-19 ont été développés et distribués à une vitesse record, certains s’interrogent sur les technologies réellement utilisées par les laboratoires pharmaceutiques. Et si, en plus de l’ARN messager et des vecteurs viraux, des nanorobots avaient été discrètement glissés dans les précieuses fioles, à l’insu de tous ? C’est la question qui agite les esprits les plus soupçonneux, et qui mérite qu’on s’y attarde.
Il faut dire que la technologie des robots microscopiques n’est plus de la science-fiction. Dès 2020, des chercheurs de l’université Cornell aux États-Unis annonçaient fièrement avoir mis au point des robots de la taille d’un cheveu, capables de se mouvoir grâce à des impulsions laser.
Ces petits bijoux de technologie, dont la taille lilliputienne oscille entre 40 et 70 micromètres de long pour seulement 5 micromètres d’épaisseur, sont de véritables ordinateurs miniatures dotés de 4 “pattes” leur permettant de gambader joyeusement. Un véritable exploit d’ingénierie, assurément. Une prouesse technologique qui ouvre la voie à de nombreuses applications médicales, comme la destruction ciblée de tumeurs ou la réparation de lésions. Mais aussi, potentiellement, à une nouvelle génération de vaccins “augmentés”.
Imaginez un peu : en plus de l’ARN messager chargé d’apprendre à nos cellules à reconnaître le virus SARS-CoV-2, ces vaccins nouvelle génération pourraient contenir des milliers de nanorobots, programmés pour traquer et détruire le moindre coronavirus qui s’aventurerait dans notre organisme. Une armée miniature au service de notre système immunitaire, agissant tel un “boost” pour une protection optimale. Le rêve de tout laboratoire en quête du vaccin ultime.
Mais alors, pourquoi un tel secret autour de cette technologie révolutionnaire ? Pourquoi ne pas claironner haut et fort que les vaccins anti-Covid sont les premiers à bénéficier de cette avancée majeure ? La réponse est simple : pour ne pas effrayer la population. Car avouons-le, l’idée de se faire injecter des robots microscopiques, aussi bienveillants soient-ils, a de quoi en refroidir plus d’un. Mieux vaut donc rester discret sur le sujet, et laisser les gens penser qu’ils reçoivent un bon vieux vaccin à papa.
Pourtant, les indices d’une telle dissimulation ne manquent pas. Ainsi, on a appris que des robots étaient utilisés pour accélérer le développement de vaccins anti-Covid en Thaïlande. Quoi de plus facile, ensuite, que de passer de robots de laboratoire à des robots injectables ? De même, le fait que les “big pharma” misent sur différentes technologies vaccinales pourrait bien cacher une diversification vers les nanorobots, savamment occultée des communications officielles.
Bien sûr, il ne s’agit là que de suppositions. Mais force est de constater que l’hypothèse de nanorobots vaccinaux n’est pas dénuée de fondement car rendue possible dès 2020. Et si c’était vrai, cela soulèverait de nombreuses questions éthiques. Peut-on inoculer des robots à la population sans son consentement éclairé ? Quels sont les risques à long terme d’une telle technologie ? Les nanorobots pourraient-ils un jour échapper à tout contrôle et se retourner contre nous ? …
[0]https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/des-robots-microscopiques-controles-a-laide-de-lasers-83235/
[1] https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-industrie-c-est-fou-un-robot-autonome-capable-de-vacciner-sans-aiguille.N1158097
[2] https://new.abb.com/news/fr/detail/77796/robots-vaccins-covid-19-thailande
[3] https://www.radiofrance.fr/franceinter/covid-19-une-etude-dresse-le-portrait-robot-des-anti-vaccins-7537662
[4] https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/coronavirus-les-quatre-technologies-gagnantes-pour-un-vaccin-851133.html
[5] https://www.journaldugeek.com/2020/08/27/micro-robots-injectables-revolutionner-medecine/