Figurez-vous que la poussière qui recouvre nos chères voitures ne serait pas du sable du Sahara comme on nous le rabâche depuis des années, mais un cocktail explosif de métaux lourds et d’éléments utilisés pour modifier le climat.
Une laborieuse analyse chimique réalisée par un laboratoire bosniaque sur des échantillons de poussière prélevés sur des pare-brises a en effet révélé la présence de ces substances pour le moins inquiétantes qui nous tomberaient du ciel. De quoi se demander si on ne nous prendrait pas un peu pour des imbéciles avec cette histoire de sable du désert.
Mais entrons dans les détails croustillants de cette affaire. Les métaux lourds, ces vilains garnements de la chimie dont la masse volumique dépasse les 5000 kg/m3, seraient présents en quantités anormalement élevées dans les échantillons analysés. On y trouverait pêle-mêle du plomb, du mercure, du cadmium, du chrome, du nickel, de l’arsenic et autres joyeusetés du même acabit, le tout dans des concentrations dépassant allègrement les limites autorisées. Un vrai festival !
Notre poussière miracle contiendrait aussi des éléments utilisés pour la géo-ingénierie, cette idée saugrenue de manipuler le climat en dispersant des particules réfléchissantes dans l’atmosphère. Des chercheurs un peu illuminés ont en effet suggéré de créer un écran de poussière lunaire entre la Terre et le Soleil pour refroidir notre bonne vieille planète. Alors comme par hasard, on retrouve des traces de ces mêmes ingrédients sur nos carrosseries.
Mieux vaut passer un petit coup de chiffon sur sa voiture de temps en temps. On ne sait jamais, des fois qu’un peu de poudre de perlimpinpin s’y serait déposée à notre insu. Sait-on jamais, avec toutes ces manigances pour manipuler Dame Nature, tout est possible de nos jours …