Le 17 juillet 2023, un froid glacial a envahi l’Argentine, brisant tous les records de température depuis le début des relevés en 1961.
Le thermomètre a affiché -22,5 °C à l’aéroport de Perito Moreno et -11,2 °C à San Antonio Oeste. Pendant ce temps, la Sibérie connaissait des températures les plus basses depuis 90 ans.
Mais ne vous attendez pas à voir ces informations dans les médias traditionnels. Les records de froid ne font pas les gros titres. Ils ne correspondent pas au récit du réchauffement climatique qui est si cher à l’establishment.
Pendant ce temps, notre soleil est en pleine effervescence, crachant des éruptions solaires et des tempêtes magnétiques qui atteignent leur apogée aujourd’hui, le 20 juillet. Un “éjection de masse coronale cannibale” a frappé la Terre, déclenchant des tempêtes géomagnétiques dans notre atmosphère.
Plusieurs décharges dirigées vers la Terre depuis l’énorme tache solaire ‘AR3363‘ se rapprochent. Les tempêtes géomagnétiques de classe G1 ont déjà été mesurées et devraient s’intensifier en G2 ou G3, lorsque des CME plus puissants arriveront.
Ces événements ont des implications majeures. Le champ magnétique de notre planète s’affaiblit, ayant perdu environ 20 % de sa force depuis les années 1800. Même les éruptions solaires mineures ont un impact plus important que d’habitude.
En Russie aussi, le froid arctique s’est installé. Autour du 10 juillet, une vague de froid a frappé les régions nordiques de la région de Krasnoïarsk, battant des records de température.
Les causes de ces températures extrêmes restent floues. Une chose est sûre, le CO2 n’est pas en cause. La combinaison d’une radiation intense et de tempêtes magnétiques semble être la cause la plus probable.
Il est temps de comprendre que la température de la Terre dépend de la distance et de l’activité du soleil. Les climatologues ne sont pas les experts à écouter. Ce sont les astrophysiciens qui détiennent les clés de notre avenir.
Pour info, c’est l’hiver en Argentine.
C’est bien l’hiver dans l’hémisphère sud, mais avec des températures negatives extrémes, puis dans l’hémisphère nord la même chosse.
Après l’état profond fait peur avec le co2 afin de continuer avec son projet mondialiste….
Les globalistes devraient modifier leurs discours et dire que l’homme est responsable du refroidissement climatique, non seulement ce serait plus crédible, mais en plus la perspective d’avoir quelque degré en moins sur terre est autrement plus inquiétante que la perspective inverse. Bien évidemment ce ne serait absolument pas scientifique mais qu’importe il y a tellement de gogos enclins à adhérer en leurs narratives irrationnelles, leurs spiritualités orphelines de la religion chrétienne en sont demandeuses.