Qui aurait cru que la vitamine D deviendrait l’objet d’un scandale médical digne d’un roman policier ?
En 2020, un consensus se dessinait sur l’efficacité de la vitamine D contre le COVID-19. Des médecins, des spécialistes, des associations, tous s’accordaient pour dire que cette petite molécule, généreusement offerte par le soleil, pouvait réduire l’infection par le coronavirus. Mais voilà, la vitamine D a été mise à l’écart, comme une vieille chaussette. Un acte criminel, disent certains. Pourquoi ? Parce que reconnaître son efficacité aurait rendu impossible la mise sur le marché des injections ARNm.
Et puis, il y a eu cette tribune, signée par 73 médecins spécialistes et six associations de médecins. Ils appelaient à supplémenter l’ensemble de la population française en vitamine D. Mais qu’ont fait nos autorités? Rien. Nada. Zilch. Ils ont même tenté d’interdire la vitamine D ! Et disaient qu’elle risquait de provoquer des formes graves !
Et pendant ce temps, la presse et les télétoubibs se déchaînaient contre la vitamine D. Des études pipotées et rétractées étaient brandies comme des preuves irréfutables. Mais qu’en est-il de la vérité? Une étude a montré qu’une simple supplémentation en vitamine D réduisait la mortalité COVID des 2/3 chez les résidents âgés de maisons de retraite. Et une autre étude a confirmé ce taux de 17% à 28 jours. Alors, où est le biais ?
Et que dire de Mathieu Molimard, ce chef du service de pharmacologie du CHU de Bordeaux, qui a déformé les résultats de l’étude pour faire croire que la vitamine D n’était pas efficace ! Il travaille pour des laboratoires qui produisent des médicaments, mais il dénigre une molécule naturelle et efficace.
La vitamine D a été victime d’un sabotage en règle. Un crime médical qui a coûté des vies. Mais la vérité finit toujours par éclater. Et la vitamine D, cette petite molécule solaire, reprendra sa place au soleil.