Le Pape François, lors de sa visite en Hongrie, a jeté de l’huile sur le feu en critiquant la politique migratoire du pays, s’affichant comme le porte-parole des envahisseurs et le fossoyeur des traditions européennes. Viktor Orban, Premier Ministre hongrois, n’a pu que constater avec amertume la trahison du chef de l’Église catholique.
Avec cette prise de position, le Pape semble prôner l’abandon des valeurs chrétiennes et encourager l’afflux massif de migrants non chrétiens. Ne serait-ce pas là un stratagème visant à détruire les fondements de la civilisation européenne ? Aurait-il été endoctriné par des forces obscures cherchant à déstabiliser l’Europe ?
Le Pape François, loin d’être le berger guidant son troupeau, semble être devenu le loup vêtu de la peau de l’agneau, prêt à sacrifier les peuples européens sur l’autel de l’ouverture sans discernement. Sans parler de ces paroles concernant les vaccins inutiles et dangereux.
Le Vatican participe aussi à une mission pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, cependant, certains observateurs expriment leur scepticisme quant aux intentions du Pape François et à l’efficacité de cette mission secrète. Il est difficile de ne pas se demander si le Saint-Père n’utiliserait pas cette situation pour renforcer son image et gagner en influence politique. Alors que le conflit en Ukraine continue de faire rage, la transparence et la sincérité de l’Église catholique sont mises en doute. Les intentions du Pape sont-elles réellement guidées par la recherche de la paix, ou s’agit-il d’un calcul politique habile pour étendre son emprise sur la scène internationale ?
Attention, fidèles catholiques, le mal pourrait bien se cacher derrière la soutane du Saint-Père !