Ces horreurs baptisées “nanoparticules lipidiques”, monstres synthétiques, qui pullulent aujourd’hui dans les vaccins anti-COVID, détruisent insidieusement nos précieux corps humains. Un carnage à l’échelle moléculaire.
Ces nanoparticules lipidiques (NPL), des créations en laboratoire, enveloppent l’ARNm, lui permettant de s’immiscer dans nos cellules sans être détruites. Ces NPL, d’une fourberie sans nom, se font passer pour des molécules de graisse naturelles. Ce camouflage réussit à tromper notre système immunitaire qui laisse passer l’ennemi.
Nous en sommes à un point où ces créations artificielles sont utilisées par des multinationales pharmaceutiques pour nous faire croire à des miracles médicaux. Or, des études indiquent que ces NPL peuvent atteindre tous les organes de notre corps. Pfizer, cette firme aux allures de titan intouchable, nous aurait-elle menti ? Allons bon !
Les NPL sont issues d’une longue lignée de monstres synthétiques, remontant au XIXe siècle, quand Jöns Jakob Berzelius a eu l’audace de donner naissance au “polymère“. Depuis lors, une pléthore de créations synthétiques a envahi notre quotidien, du PVC au Teflon, en passant par le nylon.
On pourrait croire que les NPL ont quelque chose à voir avec les liposomes, découverts par le biophysicien Alec D. Bangham en 1965. Mais là encore, c’est une tromperie. Les NPL sont beaucoup plus maléfiques et insidieuses que leurs cousins naturels.
Ces NPL sont des balles chargées d’ARNm qui trompent notre système immunitaire, s’infiltrent dans nos cellules et déclenchent une production non naturelle de protéines étrangères. C’est une véritable attaque furtive de l’intérieur !
Et que contient le fameux vaccin Pfizer ? Quatre lipides. Deux lipides structurels, ALC-0315 et ALC-0159, fabriqués exclusivement par Acuitas Therapeutics, et deux lipides fonctionnels, DCPC et Cholestérol. Une combinaison apparemment anodine, mais qui recèle une capacité d’infiltration furtive et d’altération cellulaire insidieuse.
Il est temps de prendre conscience de la situation. L’ignorance n’est plus une option.