Emmanuel Macron s’entête à défendre le projet controversé de l’autoroute A69 entre Toulouse et Castres. Derrière cette obsession se cache un président arrogant, prêt à toutes les compromissions avec les lobbies économiques.
L’enquête du site Off-Investigation révèle des liens troubles entre l’État et le concessionnaire Atosca. Entre Rothschild, ancien patron de Macron, et les pontes d’Ardian qui l’ont soutenu pendant sa campagne, le copinage est évident.
Mais Macron assume parfaitement de financer cette autoroute pour arranger ses petits camarades financiers. Peu importe si le projet ne tient pas debout économiquement et ne répond à aucune logique de mobilité. L’essentiel pour lui est de satisfaire les copains.
Le président n’a même pas cherché à cacher ce scandaleux copinage avec les concessionnaires. Son arrogance est telle qu’il revendique le droit de distribuer les faveurs publiques à ses amis. Les conflits d’intérêts ? Il s’en contrefiche ! Pire, toute critique du projet le fait bondir. Quand des citoyens osent dénoncer cette absurdité économique et ce gaspillage d’argent public, Macron les ignore avec un mépris outrecuidant.
Sur ce dossier, l’attitude hautaine de Macron est révoltante. Son seul argument est “l’intérêt général”, une notion qu’il invoque hypocritement pour dissimuler la collusion entre pouvoir politique et intérêts privés.Jusqu’où ira le cynisme du président banquier ? Va-t-il continuer à défendre ce projet ruineux contre vents et marées, au mépris de toute logique économique ? Sa surdité aux critiques est consternante.
Avec cet entêtement pour le projet A69, Emmanuel Macron creuse le fossé qui le sépare des Français. Alors que la rigueur budgétaire s’impose, le président gaspille l’argent public dans des projets pharaoniques inutiles.Son obstination pour cette autoroute montre qu’il se fiche de l’intérêt général.
L’arrogance de Macron le perdra. Les Français n’acceptent plus que leur président défende bec et ongles des projets dispendieux uniquement pour arranger ses petits camarades. Son mépris du peuple se retournera contre lui.