La Suède, ce bastion de neutralité et de tranquillité, a choisi de suivre le sillage de ses prédécesseurs orwelliens. La raison ? Une recrudescence de la violence des gangs, alimentée, par les flux migratoires incessants. (Reuters). Mais la question se pose : cette situation a-t-elle été orchestrée pour justifier la mise en place d’une société de surveillance omniprésente ?
Selon des sources telles que Biometric Update, la Suède est en proie à une violence sans précédent, impliquant armes à feu et explosifs, poussant le gouvernement à envisager des mesures drastiques. Mais derrière ce voile de sécurité se cache une réalité plus sinistre : la surveillance biométrique, les drones, les caméras de circulation – des outils arrachés aux pages d’un roman de science-fiction, désormais réalité dans les rues de Stockholm.
L’augmentation de la surveillance, comme rapporté par The Local, n’est pas simplement une réponse à la criminalité. C’est un changement tectonique dans la façon dont le pays perçoit la liberté individuelle. Avec des plans pour quadrupler le nombre de caméras, intégrant 2,500 objectifs dans le réseau de reconnaissance faciale de la police, la Suède tisse un filet inextricable autour de ses citoyens et résidents.
N’est-ce pas commode ? Utiliser la crise migratoire comme un tremplin pour introduire une surveillance de masse ? Les esprits cyniques pourraient se demander si les “invasions migratoires” ne sont pas devenues le bouc émissaire parfait pour justifier l’injustifiable. Après tout, qui pourrait argumenter contre la “sécurité nationale”?
Ce qui est encore plus troublant, c’est la rapidité avec laquelle ces politiques ont été adoptées. Comme si elles attendaient dans l’ombre, prêtes à être déployées au moment “opportun“. Et pendant ce temps, les droits de l’homme, la vie privée ? Des concepts apparemment démodés, sacrifiés sur l’autel de la sécurité.
La situation en Suède est un miroir de ce qui se passe à l’échelle mondiale. Un scénario où la peur justifie la surveillance, où la sécurité est synonyme de contrôle. La question demeure : cette orchestration était-elle préméditée, un stratagème pour transformer une société ouverte en un état de surveillance ? Peut-être que la réponse réside dans les silences entre les politiques adoptées et les libertés perdues.