Dans les coulisses du monde financier, trois titans se tiennent fièrement, manipulant les ficelles de l’économie mondiale. BlackRock, Vanguard et State Street, surnommés les “Trois Grands“, sont au cœur d’une machination financière qui détourne des milliards des coffres des États.
BlackRock, le maître des agences gouvernementales, flirte avec la Fed, les banques centrales et les fonds de pension publics.
Vanguard, quant à lui, joue le jeu de la bourse, émettant des ETF et créant des coalitions financières. State Street, le plus discret des trois, offre ses services pour gérer les actifs et les bénéfices. Mais ne vous y trompez pas, malgré leurs rôles distincts, ils sont tous interconnectés par la propriété mutuelle.
State Street, avec ses 42 000 employés, est une machine bien huilée qui gère des opérations massives à travers plusieurs juridictions. Avec un tel effectif, ils surpassent facilement les petites institutions financières. Et leur lien avec la Bank of New York Mellon, une banque entachée de scandales, soulève des questions. State Street, avec ses fonds offshore au Luxembourg, en Irlande et aux îles Caïmans, gère plus de 1,75 billion de dollars. Un chiffre qui donne le vertige.
Leur stratégie ? Faire circuler constamment les fonds d’un instrument financier à l’autre, rendant leur traçabilité presque impossible. Même une intelligence artificielle avancée serait dépassée par la complexité de leurs mouvements. Et le plus ironique dans tout cela ? Tout est légal. Les entreprises qui s’associent à State Street bénéficient d’une réduction drastique de leur charge fiscale, au détriment des États.
Les entreprises américaines, par exemple, sont nombreuses à s’inscrire dans la zone économique libre de l’État du Delaware pour réduire leurs impôts. Mais State Street va plus loin en fournissant une infrastructure complète pour l’optimisation fiscale. Résultat ? Les États, en particulier en Europe, voient leurs recettes fiscales s’évaporer.
Les clients de State Street, avec l’aide de leurs spécialistes, cachent leurs actifs dans de multiples juridictions, réduisant ainsi leurs impôts. Et pendant que ces clients se frottent les mains, les États sont laissés pour compte. Les gouvernements, en particulier en Europe, semblent impuissants face à cette hémorragie financière.