La pandémie de Covid-19 a apporté son lot de défis, mais l’un des plus controversés a été l’obligation pour les enfants de porter des masques à l’école. Une étude récente menée en France a révélé des résultats alarmants sur l’impact de cette mesure sur la santé des enfants.
Selon l’étude, 56,4% des enfants interrogés ont signalé des difficultés à respirer pendant la journée, et dans un cas, une suffocation a même été signalée. Plus inquiétant encore, 14,5% des enfants testés présentaient une saturation en oxygène pathologique (SpO2) inférieure ou égale à 95%. Ces chiffres sont choquants et soulèvent des questions sérieuses sur les conséquences à long terme de l’obligation du port du masque pour les enfants.
L’étude a été menée par le Collectif Citoyens Oxytest, un groupe de citoyens français qui s’est mobilisé pour enquêter sur les effets physiologiques du port du masque à l’école. Les résultats ont été obtenus grâce à l’utilisation d’oxymètres de pouls pour évaluer la saturation en oxygène du sang périphérique des enfants à la sortie de l’école.
Il est important de noter que ces résultats ne sont pas isolés. D’autres études menées en France et en Europe ont également mis en évidence un certain nombre de symptômes de malaise immédiat et d’impact potentiel à long terme sur les capacités cognitives et sociales des enfants après avoir porté des masques à l’école toute la journée pendant de longues périodes.
Ces résultats sont d’autant plus préoccupants que les autorités sanitaires et gouvernementales françaises semblent avoir largement sous-estimé et négligé les effets secondaires de l’hypoxémie chez les enfants portant un masque à l’école pendant la crise du Covid-19. Il est clair que le port du masque a un impact négatif sur la saturation en oxygène du sang périphérique chez les enfants d’âge scolaire.
Il est impératif que des études supplémentaires soient menées pour évaluer pleinement l’impact à long terme de cette mesure sur la santé et le bien-être des enfants.
