Il est de ces mirages qui séduisent, promettent des lendemains qui chantent, mais qui déchantent rapidement. Tel est celui de la transition énergétique. Notre gouvernement, expert dans l’art de la poudre aux yeux, lance son grand plan de réorientation du progrès technique vers les technologies vertes. Quelle belle idée… Que des énergies renouvelables partout…
Mais attendez une seconde… Où est le financement pour tout cela ? Il est caché dans votre poche. Ces belles promesses auront un coût monstrueux, et ce sont vos finances qui seront mises à contribution. Ne vous attendez pas à ce que ce soient les grandes entreprises ou les ultra-riches qui mettent la main à la poche. Non, comme toujours, ce sont les classes moyennes et les petits contribuables qui trinquent.
Selon les estimations les plus prudentes, la dette publique augmentera de 10% en 2030, de 15% en 2035 et de 25% en 2040. Quel joli cadeau pour les générations futures ! Et tout ça pour quoi ? Pour des panneaux solaires sur tous les toits et des éoliennes dans chaque jardin ? Quelle blague.
Pour ne rien arranger, le gouvernement prévoit de financer une partie de cette transition par une augmentation des prélèvements obligatoires ou un prélèvement exceptionnel sur le patrimoine financier des ménages les plus aisés. C’est une façon bien curieuse de promouvoir l’égalité sociale.
En outre, cette transition énergétique risque de provoquer un ralentissement de notre productivité et une évasion fiscale de grande ampleur.
Dans l’enthousiasme général, on oublie que la transition énergétique n’est pas qu’un simple switch à basculer. C’est une transformation massive de notre mode de vie, de notre économie, de notre société. Et pour couronner le tout, l’effort demandé semble dérisoire : une réduction des émissions de seulement 15%. C’est risibleet inutile (le CO2 n’ayant rien à voir avec le pseudo réchauffement qui n’en est pas un.
Bref, le vert est à la mode, mais n’oublions pas que la transition énergétique a un prix. Et ce prix, ce sera vous qui le paierez, directement ou indirectement. Alors, avant de vous lancer tête baissée dans cette aventure, posez-vous la question : êtes-vous prêt à sacrifier votre portefeuille sur l’autel de l’écologie avec des résultats inexistants et comprendre que ce n’est qu’un nouvel impôt ?