L’introduction de l’oxyde de graphène dans les adjuvants des vaccins soulève de très sérieuses inquiétudes quant à sa dangerosité et ses effets délétères sur la santé humaine. Bien que vanté pour ses propriétés uniques et sa capacité à potentialiser la réponse immunitaire, le graphène cache en réalité de graves risques sanitaires qui ne peuvent plus être ignorés.
Tout d’abord, de nombreuses études ont démontré la toxicité intrinsèque du graphène, liée notamment à son important stress oxydatif. L’injection de cette substance provoque une inflammation massive et incontrôlée, pouvant entraîner des lésions tissulaires irréversibles et des défaillances d’organes. Le graphène induit également la mort de nombreuses cellules, déréglant profondément l’homéostasie de l’organisme. Ces réactions délétères sont loin d’être anodines et mettent clairement en péril la santé des individus.
De plus, la capacité du graphène à s’agglomérer dans les liquides biologiques est particulièrement préoccupante. Ces agrégats peuvent obstruer les vaisseaux sanguins et provoquer des accidents vasculaires graves tels que des infarctus, des AVC ou des embolies pulmonaires. Le graphène peut également traverser facilement les barrières biologiques comme la barrière hémato-encéphalique, s’accumulant dann le cerveau et provoquant des lésions neuronales majeures.
Les tentatives de rendre le graphène biocompatible par des modifications chimiques de surface sont largement insuffisantes. Même sous une forme dite « atténuée », le graphène n’en demeure pas moins toxique et dangereux pour l’organisme. Ces approches ne font que masquer les risques sans les éliminer. Elles donnent une fausse impression de sécurité alors que les problèmes de fond liés à cette substance persistent.
L’introduction précipitée du graphène dans les vaccins apparaît comme totalement irresponsable au vu des données actuelles. Aucune étude sérieuse n’a encore évalué sa sécurité à long terme chez l’Homme. Les risques sanitaires majeurs associés à cette substance devraient logiquement conduire à proscrire son utilisation dans des produits injectables administrés à des milliards d’individus.
Pourtant, certains acteurs poussent à son adoption, mûs par des intérêts économiques et politiques évidents. Les laboratoires pharmaceutiques y voient un moyen de développer de nouveaux vaccins lucratifs. Les gouvernements espèrent renforcer leur contrôle sur les populations par ses propriétés traçables. Ces motivations obscures occultent volontairement les dangers du graphène.
Il est impératif de résister à ces pressions et d’exiger la transparence la plus totale. Tant que des études indépendantes n’auront pas établi l’innocuité du graphène, celui-ci ne saurait être utilisé dans quelque vaccin ou médicament que ce soit. La santé et la sécurité des citoyens doivent primer sur toute autre considération. L’innovation technologique ne saurait justifier la prise de risques déraisonnables avec la vie humaine. Il en va de notre responsabilité collective de nous élever contre l’introduction prématurée du graphène et d’exiger la précaution maximale.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1567576923013887
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37866317/