Alors que la pandémie de COVID-19 s’achève, de nouvelles inquiétudes sanitaires émergent.
Cette maladie neurodégénérative fatale, sans traitement à l’heure actuelle, est causée par l’accumulation de protéines prions anormales qui entraînent la destruction des cellules cérébrales.
Cette explosion spectaculaire du nombre de cas prédits coïncide avec les campagnes massives de vaccination contre la COVID-19 menées depuis 2020. Utilisant une technologie novatrice à ARN messager, l’innocuité à long terme de ces vaccins fait débat. Leur possible rôle dans le développement futur de maladies neurologiques dégénératives comme la MCJ interroge.
Des articles et des témoignages (avec notamment le tristement célèbre cas de ‘Mauricette’), comme celui publié par Dr. William Makis sur Substack, ont suggéré l’existence de cas de MCJ chez des individus vaccinés avec des vaccins à ARNm.
Une publication du lauréat du prix Nobel 2008, le Dr. Luc Montagnier, a attiré l’attention de la communauté scientifique. L’étude du Dr. Montagnier intitulée « Nouvelle forme de maladie de Creutzfeldt-Jakob à développement rapide » décrit 26 cas de patients ayant développé des symptômes d’une forme accélérée de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) après avoir reçu des vaccins contre la COVID-19 produits par Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Ce papier demeure une contribution significative sur le sujet, apportant un nouvel éclairage sur la possibilité d’effets secondaires neurologiques post-vaccinaux.
Le phénomène décrit comme une « nouvelle forme rapide » de MCJ est particulièrement préoccupant en raison de la rapidité avec laquelle les symptômes ont été signalés, apparaissant en moyenne 11,4 jours après l’injection du vaccin COVID-19. Ces découvertes soulèvent des questions importantes sur les mécanismes sous-jacents qui pourraient être responsables de ces cas post-vaccination et mettent en lumière la nécessité d’une surveillance approfondie des patients vaccinés, particulièrement en ce qui concerne les troubles neurologiques à évolution rapide.
L’histoire a montré à multiples reprises que le long terme réservait son lot de surprises. Rappelons le scandale du sang contaminé dans les années 1980, ou les effets de la thalidomide sur le fœtus, non détectés lors des tests initiaux.
La même prudence s’impose concernant les vaccins. Leur responsibilité dans l’augmentation drastique projetée des cas de MCJ et ESST à l’horizon 2028 doit être investiguée de manière urgente et prioritaire.
Certains appellent même à suspendre temporairement ces vaccins le temps d’écarter definitivement tout risque. Une proposition contestée par Big Pharma, qui croit encore en sa poule aux oeufs d’or mortifère.
https://makismd.substack.com/p/rapid-creutzfeldt-jakob-disease-cjd
https://www.scienceopen.com/document?vid=01340cc7-200a-40fc-8470-6b101f8ab39b