Au début du XXe siècle, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, fondé par le magnat du pétrole John D. Rockefeller, s’est arrogé le contrôle de la recherche et de l’enseignement médicaux aux États-Unis. En 1907, une épidémie touchant 2500 personnes est survenue à New York. Le directeur de l’Institut Rockefeller, Simon Flexner, y a vu une opportunité en or.
Sans preuve scientifique, il a affirmé avoir découvert la cause : un “virus” de la polio. Ainsi est née la virologie moderne. Flexner et son collègue n’ont jamais réussi à isoler ce prétendu virus. Ils ont injecté aux singes un mélange contenant de la moelle épinière broyée, du cerveau, des matières fécales et même des mouches, provoquant des paralysies. Ils en ont conclu qu’un virus invisible devait en être responsable.
Grâce à l’influence politique des Rockefeller et au contrôle corrompu de l’American Medical Association, toute recherche alternative sur les causes toxiques possibles de la polio a été interdite. Seule la piste virale, profitable à l’industrie pharmaceutique naissante, a été autorisée. Après 1945, l’utilisation généralisée de l’insecticide DDT aux États-Unis a coïncidé avec une explosion des cas de polio, touchant surtout les enfants.
Certains scientifiques comme le Dr Morton Biskind ont alerté sur le lien avec l’empoisonnement au DDT, mais ils ont été réduits au silence. Les responsables de l’Institut Rockefeller ont orchestré cette “urgence sanitaire” de la polio, promouvant le DDT comme protection contre des moustiques et mouches propagatrices imaginaires. Ils contrôlaient également les fonds pour la recherche sur les vaccins. À partir de 1953, les cas de polio ont soudainement décliné, bien avant l’introduction des vaccins. Cette baisse a suivi la réduction de l’utilisation du DDT suite aux inquiétudes du public. Mais le mérite en a été attribué aux futurs vaccins financés par l’Institut Rockefeller.
Cette fraude initiale autour de la polio a servi de modèle pour créer d’autres urgences sanitaires basées sur des virus imaginaires : COVID-19, VIH, variole du singe, etc. Aucun n’a été isolé scientifiquement. La même fondation Rockefeller est au cœur de cette tyrannie médicale mondiale aujourd’hui. Leur objectif ultime semble être le contrôle des populations à des fins eugénistes, avec la complicité d’organisations comme l’OMS, le Forum Economique Mondial et des géants de l’industrie pharmaceutique et agrochimique comme Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson&Johnson, Merck, Sanofi, Bayer, Syngenta, Monsanto ou Dow Chemicals.
La supercherie autour du virus de la polio a créé un précédent qui perdure jusqu’à nos jours. Elle montre comment une poignée d’intérêts privés peut orchestrer un tel scandale sanitaire dans son propre intérêt, au détriment de millions de vies.