Le 22 et 23 juin dernier, un sommet a eu lieu au Palais Brongniart pour établir un nouveau pacte financier international. Cette rencontre, qui a vu la participation de personnalités influentes telles que le fils de George Soros et Melinda Gates, a suscité de nombreuses interrogations.
Ces figures de proue de la finance mondiale ont été reçues à l’Élysée par Emmanuel Macron, ce qui soulève des questions sur l’impact potentiel de ces acteurs financiers sur la politique française et leur rôle dans la formation de ce pacte.
En parallèle à ces événements, la France a été le théâtre de plusieurs incidents troublants. Le 27 juin, un jeune homme du nom de Nael a été tué par un policier. Cet incident a déclenché une marche blanche, organisée avec l’aide du comité pour Adama Traoré. Lui-même soutenu par l’Open Society de Soros. La rapidité avec laquelle cette marche a été organisée et l’implication de l’Open Society soulèvent des questions sur le rôle de cette organisation dans les affaires internes de la France.
Pendant ce temps, la Banque Centrale Allemande est confrontée à une crise financière majeure.
https://www.telegraph.co.uk/business/2023/06/26/german-central-bank-bailout-money-printing-spree/
De plus, le gouvernement français est en train de préparer une loi de programmation militaire qui lui donnerait le droit de réquisitionner de nombreux biens et personnes.
Cette situation rappelle étrangement la crise grecque, où l’Union Européenne a saisi les comptes bancaires des particuliers pour recouvrer les arriérés de dette. Cette coïncidence pourrait-elle être un signe d’une crise financière imminente en France?
Par ailleurs, l’État français a mis en place un contrôle des Diagnostics de Performance Énergétique (DPE) des biens immobiliers, sous prétexte de lutte contre le changement climatique. Cette mesure pourrait interdire la location ou la vente de nombreux logements en France, car les propriétaires pourraient être dans l’incapacité de réaliser les travaux nécessaires pour se conformer aux nouvelles normes. Cette initiative, combinée à l’accélération de la mise en place des monnaies numériques (CBDC) programmables par le World Economic Forum, pourrait mener à un contrôle total de la population et à la suppression de l’argent liquide.
Ces événements suggèrent une accélération de la mise en place de l’Agenda 2030 du World Economic Forum. Ce dernier prône un futur où « Vous ne posséderez rien mais vous serez heureux ». Cette phrase, qui a depuis disparu du site du WEF, semble être le mantra de la « nouvelle religion de Davos ». Face à ces développements, il est légitime de se demander si la démocratie est en danger et si la France est en train de devenir un pion dans un jeu d’échecs mondial.