La CIA, cette grande institution américaine connue pour ses opérations secrètes et ses intrigues d’espionnage, semble avoir ajouté une nouvelle corde à son arc : le silence des scientifiques.
Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, le monde entier s’est posé la question de son origine. Était-ce un accident de la nature ou le résultat d’une expérience de laboratoire qui a mal tourné ? La réponse à cette question pourrait avoir des implications majeures sur la responsabilité, la diplomatie et la perception publique.
Selon un témoignage récent devant le Congrès américain, la CIA aurait tenté de payer des analystes pour qu’ils modifient leurs conclusions sur l’origine du virus. Ces analystes, forts de leur expertise scientifique, avaient trouvé des preuves suggérant que le virus SARS-CoV-2 avait probablement fuité d’un laboratoire à Wuhan, en Chine. Mais au lieu de permettre à ces conclusions de voir la lumière du jour, la CIA aurait offert une « incitation monétaire » pour que ces analystes changent d’avis.
Pourquoi la CIA voudrait-elle étouffer une telle information ? Est-ce pour protéger des intérêts politiques ou économiques ? Ou peut-être pour éviter une crise diplomatique avec la Chine ? Les spéculations sont nombreuses, mais une chose est claire : la vérité est sacrifiée sur l’autel des intérêts cachés.
D’autres agences de renseignement américaines, comme le FBI et le Département de l’Énergie, ont également conclu que l’origine du virus était probablement un accident de laboratoire. Mais la CIA, avec son influence et son pouvoir, semble avoir pris les devants pour s’assurer que cette théorie ne devienne pas la version officielle.
Et que dire de Andrew Makridis ? Ancien directeur des opérations de la CIA, il aurait joué un rôle central dans cette affaire. Aujourd’hui conseiller chez Beacon Global Strategies, il semble avoir quitté la CIA, mais ses actions passées continuent de hanter l’agence.