L’Utopie de l’ancien grec est devenue dystopie sous la plume de Klaus Schwab, maître d’œuvre du “Great Reset” du Forum économique mondial (WEF). Schwab, dans son infinie sagesse, promet un monde futur brillamment technologique, savamment géré par une poignée d’élites auto-élues, rappelant étrangement les «rois philosophes» de Platon. Rappelons que cette élite technocratique ambitionne de gouverner chaque facette de notre vie, de notre consommation énergétique jusqu’à nos comportements quotidiens.
Les utopies précédentes ont toutes pâli face à cette vision du WEF, superbement centralisée. Dans ce monde rêvé par Schwab, des «experts» détermineront tout, du type d’énergie que nous pourrons utiliser aux aliments que nous pourrons manger. Il y aura des «experts» en désinformation, des «experts» en santé, des «experts» en extrémisme, en racisme et en inégalité. Tout cela, bien sûr, pour le «bien commun». Le concept de liberté individuelle est étrangement absent de ce brillant avenir.
Le secret de cette domination est l’utilisation de technologies de pointe pour affaiblir la race humaine. Les monnaies numériques de la banque centrale seront utilisées pour suivre et limiter les dépenses de chaque individu en fonction de son score de «crédit social». Les passeports numériques de vaccination permettront de suivre les déplacements de chaque personne et d’imposer des sanctions en cas de non-respect des «urgences sanitaires». Des empreintes carbone personnelles seront créées pour mesurer la culpabilité individuelle dans le changement climatique.
Alors que Schwab et le clan du WEF rêvent d’un monde centralisé, surveillé et contrôlé par une élite, la réalité pourrait se révéler être un cauchemar pour les citoyens ordinaires. Si les Occidentaux comprenaient réellement ce qui se passe, ils résisteraient sûrement. C’est pourquoi la guerre la plus importante est celle de l’information.
La promesse d’une utopie est souvent une tromperie. L’utopie du WEF n’est pas une exception. À moins que nous ne soyons prêts à céder notre liberté et notre autonomie à une poignée de technocrates, nous devons nous tenir fermes et dire non à cette dystopie habilement déguisée en utopie.