Dans le monde étrange et déroutant de notre époque, les filles ultra-connectées ont commencé à tendre des pièges aux hommes lors de safaris algorithmiques pour attirer l’attention, tout en agonisant en privé sur le coût pour leur propre humanité.
L’ère numérique, un temps où l’attention est la nouvelle monnaie et où les réseaux sociaux sont devenus le nouveau terrain de chasse. Les filles ultra-connectées, armées de leurs smartphones et de leurs comptes Instagram, partent en safari dans la jungle algorithmique, à la recherche de likes, de commentaires et de DMs. Elles postent des selfies soigneusement filtrés, des mèmes hilarants et des stories captivantes, tout cela dans l’espoir d’attirer l’attention de leur crush.
Mais cette chasse à l’attention a un coût. Un coût émotionnel, psychologique et, osons le dire, humain. Ces filles, dans leur quête désespérée d’attention, se retrouvent à manipuler leur image, à déformer leur réalité et, finalement, à se perdre elles-mêmes. Elles deviennent des esclaves de l’algorithme, des marionnettes dans le théâtre des médias sociaux.
Et pendant ce temps, elles agonisent en privé. Elles se demandent si tout cela en vaut la peine. Elles se demandent si elles ont perdu une partie de leur humanité dans cette quête d’attention. Elles se demandent si elles sont encore elles-mêmes ou si elles sont devenues une version filtrée, éditée et algorithmiquement approuvée d’elles-mêmes.
Il est temps de se poser une question : est-ce que tout cela en vaut la peine ? Est-ce que l’attention obtenue par la manipulation et la déformation de soi-même vaut la perte de son humanité ? Est-ce que les likes, les commentaires et les DMs valent la peine de se perdre soi-même ?