L’Europe, ce bastion de la démocratie, de la transparence et du bon sens ! Et pourtant, l’affaire des vaccins COVID-19 dévoile une toute autre réalité. Un exemple flagrant de gaspillage d’argent public et de manigances obscures.
La Commission européenne s’engage à acheter 70 millions de doses annuelles de vaccins COVID-19 jusqu’en 2026, offrant ainsi à Pfizer/BioNTech un monopole juteux. Les autres acteurs tels que Moderna, Sanofi et Valneva sont écartés sans scrupule. Encore mieux, Pfizer facturera les doses commandées par Bruxelles et non-utilisées, empochant ainsi 10 dollars par dose non-livrée.
Le montant total de ces contrats atteint la somme astronomique de 71 milliards d’euros pour 4,6 milliards de doses. Qui va payer pour cette gabegie ? Certainement pas Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne, ni Albert Bourla, PDG de Pfizer.
La transparence brille par son absence : secret sur les contrats, les prix, les négociations, les échanges entre von der Leyen et Bourla. La Cour des comptes européenne et les députés sont maintenus dans l’ignorance.
Pendant ce temps, la France ferme des maternités et des lits de réanimation pour financer ce gaspillage. Heureusement, certains pays ont exprimé leur désaccord face à cet arrangement honteux.