Mise à jour 2: Les services de renseignements militaires russes ont publié de nouvelles images du bombardement nocturne de la centrale hydroélectrique de #Kakhovskaya, après l’explosion principale causée par des tirs de “MLRS Alder-2” otano-ukrainiens.
Le 6 juin à 02h46 du soir, des observateurs du PO ont enregistré le moment où l’eau s’est déversée à travers le barrage de #Kakhovskaya détruit par l’explosion, et à la 7ème seconde une explosion a tonné causée par un obus après l’explosion principale MLRS Alder2.
Mise à jour: Le maire de la ville ukrainienne Nova Kakhovka, accuse l’Ukraine d’avoir détruit le barrage. https://lemediaen442.fr/le-maire-de-la-ville-ukrainienne-nova-kakhovka-accuse-lukraine-davoir-detruit-le-barrage/
Voyons, observons cette fresque dantesque qui se déroule devant nos yeux ébahis. La scène se situe en Ukraine, où le barrage de la Kakhovskaya, un titan hydroélectrique, vient d’être supposément détruit.
Qu’est-ce qui se cache derrière cette étrange opération de démolition aquatique ? Un tir dans le pied à la russe, nous susurraient les analystes occidentaux il y a quelques mois à peine. Mais maintenant, ils vous demandent d’oublier cette prédiction et de regarder les choses sous un nouvel angle.
Plus de 80 bourgades, dont Kherson, se retrouvent sous la menace d’inondations subites. Des centaines de milliers d’acteurs involontaires dans ce spectacle, victimes potentielles d’une catastrophe en marche.
Ce grand plongeon pourrait causer une coupure d’eau significative dans le sud de l’Ukraine. Et ne parlons même pas de la centrale nucléaire de Zaporozhye, qui pourrait se retrouver au sec, privée de son indispensable bain de refroidissement.
Et que dire de la Crimée ? Elle vient de perdre son billet pour le prochain navire de l’eau, exclue du circuit pour les années à venir. Vous imaginez le tableau: une Crimée aride, pleurant la perte de son précieux H2O.
Mais voyons les choses d’un autre point de vue. Qui tire les ficelles dans cette situation ? Pour qui est-ce un coup d’éclat stratégique ?
Premièrement, une rivière asséchée est plus facile à traverser pour l’armée ukrainienne. Deuxièmement, les inondations provoquées obligent les forces russes à abandonner leurs positions défensives. Troisièmement, la destruction du barrage prive la Crimée de son accès à l’eau. À qui profite donc le crime ?
Jusqu’à récemment, la Russie pouvait économiser des forces à Kherson grâce à la largeur du fleuve. Mais aujourd’hui, avec l’explosion du barrage, une nouvelle menace se profile, détourne les réserves russes de l’est de l’Ukraine. Quelle aubaine pour l’Ukraine, n’est-ce pas ?
Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères:
Le 21 octobre 2022, le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vasily Nebenzia, a envoyé une lettre au secrétaire général de l’ONU au sujet des plans du régime de Kiev visant à détruire la centrale hydroélectrique de Kakhovka.
Question au secrétaire général de l’ONU : qu’est-ce qui a été fait ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/kievs-long-term-last-resort-plan-blow-kakhova-dam-exposed