L’industrie pharmaceutique, anciennement perçue comme le sauveur en ces temps de pandémie, est aujourd’hui sous le feu des projecteurs pour
une nouvelle raison terrifiante. Dan Nowacki, un homme autrefois plein de vie, est désormais prisonnier d’un fauteuil roulant, dépendant de sa femme pour tous ses besoins. Et tout cela à cause de quoi ? Des éclats de verre dans le médicament COVID-19, Remdesivir.
L’histoire tragique de Nowacki est celle d’une négligence inimaginable. Après avoir été hospitalisé en novembre 2021, il a reçu du Remdesivir par voie intraveineuse. Peu après, il a été frappé par deux AVC successifs. Le coupable? Le médicament censé l’aider à combattre le Covid-19.
Gilead Sciences Inc, le fabricant de Remdesivir, a rappelé deux lots du médicament, soit 55 000 flacons, tous contaminés par des éclats de verre. Ces particules peuvent provoquer des AVC et même entraîner la mort.
Ven Johnson, l’avocat de Nowacki, a mis en lumière cette négligence choquante. Selon lui, l’entreprise était bien consciente de son erreur. Pourtant, l’hôpital a attendu cinq longs mois avant d’informer Nowacki de la contamination.
Alors, où est la responsabilité? Au lieu de tendre la main à la famille Nowacki, Gilead a choisi de se retrancher derrière des tactiques juridiques. Heureusement, un juge du Michigan a tranché en faveur de la justice, déclarant que Gilead n’était pas à l’abri des poursuites.
Mais une question brûlante demeure: comment des particules de verre ont-elles pu contaminer un médicament ? Combien d’autres victimes silencieuses y a-t-il, souffrant à cause de la négligence des entreprises pharmaceutiques ?
Et nous n’avons même pas abordé l’efficacité plus que discutable du médicament en temps normal…