L’UE finance des trolls pour noyer les voix dissidentes: bienvenue à l’ère de l’oppression numérique

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Les temps sont durs pour les défenseurs de la liberté d’expression en Europe. Il semblerait que le Parlement européen ait décidé de renforcer sa mainmise sur le débat public en se dotant d’une armée de trolls payés à prix d’or. Oui, vous avez bien lu. Deux millions et demi d’euros pour surveiller et influencer les conversations sur les réseaux sociaux, tel est le plan machiavélique de cette institution qui n’a de démocratique que le nom.

Ne nous y trompons pas, il s’agit ni plus ni moins d’une tentative d’asservissement de l’opinion publique. Sous couvert de « corriger les méprises » et de « déconstruire les mythes », l’UE prévoit d’infiltrer les conversations en ligne pour imposer son idéologie et museler les voix discordantes. À croire que les véritables mythes à déconstruire sont ceux d’une Union européenne transparente et respectueuse des libertés individuelles.

Leur objectif est clair : combattre l’idée que « l’Europe est le problème » et faire avaler à la population la pilule amère d’une « plus d’Europe ». Quel meilleur moyen de s’assurer que cette idée fasse son chemin que de recourir à la manipulation et à la propagande ? Orwell doit se retourner dans sa tombe.

Et dire que tout cela se fera aux frais du contribuable européen, qui se retrouvera involontairement complice de cette mascarade. Il est à parier que les eurosceptiques n’auront jamais été aussi nombreux qu’après cette révélation. Mais gageons que l’UE saura trouver encore plus de moyens pour les réduire au silence.

Dans un monde où la désinformation et les fake news sont légion, l’Europe semble avoir choisi son camp. Au lieu de promouvoir un débat sain et équilibré, elle préfère noyer les voix dissidentes sous un déluge de trolls. Si l’avenir de l’Union européenne doit reposer sur de telles pratiques, il est à craindre que nous n’ayons pas fini de regretter le bon vieux temps des démocraties nationales souveraines.

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