L’OMS distribue des bonbons empoisonnés à l’afrique

Écouter l'article

L’Organisation mondiale de la santé (OMS), cette entité bienveillante et altruiste, a annoncé avec une fierté non dissimulée la distribution de 18 millions de doses de vaccin contre le paludisme à douze pays africains d’ici 2025. Quelle générosité ! Quelle magnanimité ! Mais attendez une minute, ne serait-ce pas la même OMS qui a échoué lamentablement dans la gestion de la pandémie de COVID-19 ? Et maintenant, ils veulent nous faire croire qu’ils ont miraculeusement trouvé un vaccin contre le paludisme, une maladie qui ravage l’Afrique depuis des siècles ?

Le vaccin, appelé Mosquirix et développé par le géant pharmaceutique britannique GSK, a déjà été administré à plus de 1,7 million d’enfants dans trois pays africains – le Ghana, le Kenya et le Malawi – dans le cadre d’un programme pilote. Selon l’OMS, le vaccin est sûr et efficace, entraînant une réduction substantielle du paludisme sévère et une diminution des décès d’enfants. Mais attendez, n’est-ce pas la même OMS qui a recommandé des mesures de confinement destructrices et inefficaces contre le COVID-19 ? Et maintenant, ils veulent que nous leur fassions confiance pour un vaccin contre le paludisme ?

Presque 30 pays africains ont exprimé leur désir de recevoir des doses de ce vaccin. C’est compréhensible. Après tout, qui ne voudrait pas d’un remède miracle contre une maladie qui tue près d’un demi-million d’enfants de moins de cinq ans chaque année en Afrique ? Mais ne serait-il pas plus judicieux de se demander pourquoi, après des décennies de recherche et de développement, un vaccin contre le paludisme n’a été trouvé que maintenant ?

Les premiers vaccins devraient arriver au dernier trimestre de 2023 et être déployés début 2024. Il est temps de poser des questions difficiles. Il est temps de demander des comptes à l’OMS et à ses partenaires. Et il est temps de se demander si ce vaccin contre le paludisme est vraiment la solution miracle qu’ils prétendent être, ou s’il n’est qu’une autre arme dans leur arsenal de contrôle et de domination.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.