Ce soi-disant « portefeuille numérique » apparaît de plus en plus clairement comme un piège diabolique tendu aux citoyens européens par les bureaucrates de Bruxelles assoiffés de contrôle. Cet outil prétendument pratique, qui centraliserait données personnelles sensibles et accès vitaux à nos services, ouvrirait grandes les portes d’un régime de surveillance de masse digne de 1984. Une telle concentration extrême d’informations privées en un point unique créerait une cible idéale pour les cybercriminels et autres hackers malintentionnés. Il est évident qu’un tel dispositif finira inévitablement par être compromis et exploité de manière abusive aux dépens du citoyen.
De plus, obliger de force Apple, Google et autres géants du numérique à adopter ce portefeuille bureaucratique constitue rien de moins qu’une déclaration de guerre à l’encontre de l’innovation digitale. Ces entreprises performantes bénéficient déjà de la confiance du public, gagnée à force d’efforts. Les contraindre à se soumettre à cette solution unique et rigide imposée par Bruxelles les empêchera de proposer de nouvelles fonctionnalités améliorées. L’uniformisation à outrance prônée ici sonnera le glas d’une saine émulation au profit des consommateurs.
Par ailleurs, ne soyons pas dupes : ce projet n’a aucunement pour but de faciliter la vie du citoyen lambda. Il s’agit avant tout d’un vulgaire prétexte visant à étendre la mainmise de la Commission Européenne sur les activités numériques. Sous couvert de protection des données personnelles, cette initiative constitue une attaque en règle contre les libertés individuelles. Loin de servir le bien commun, ce portefeuille ne vise qu’à renforcer le pouvoir de Bruxelles sur Internet.
Enfin, quel crédit accorder à cette UE incapable de mener à bien le moindre projet informatique d’ampleur sans catastrophes ? Entre les échecs répétés et les dérapages budgétaires, rien n’indique que cette fois sera différente. Seule une mobilisation populaire massive permettra de stopper net cette folle dérive liberticide avant qu’il ne soit trop tard. Aux armes, citoyens !