Le grand saut dans l’inconnu
Mark Zuckerberg, le grand manitou de Meta (anciennement Facebook), a récemment fait parler de lui en participant à la première interview entièrement réalisée dans le Métavers. Accompagné de Lex Fridman, un scientifique en informatique et podcasteur, les deux hommes ont utilisé des avatars photoréalistes pour converser dans cet univers virtuel.
Les détails qui tuent
Selon les informations recueillies, ces avatars sont le résultat d’une technologie de pointe développée par Meta. Ils ont subi des scans physiques détaillés et ont même été formés pour reproduire des expressions faciales. Le but ? Créer une expérience aussi réaliste que possible, tout en minimisant la bande passante nécessaire pour la transmission des données.
Les limites de la réalité virtuelle
Mais tout n’est pas rose dans le jardin de Zuckerberg. Le processus de scan, bien que sophistiqué, est encore en phase de développement. De plus, la technologie ne permet pas encore de traduire les mouvements des bras ou du torse dans le Métavers.
La Prochaine Frontière : Travailler et Vivre dans le Métavers
Après avoir conquis notre identité numérique, le Métavers et le Web 3.0 visent à devenir notre nouvel espace de vie et de travail. Imaginez un monde où votre bureau est à quelques clics de votre salon virtuel. Où les frontières géographiques n’ont plus d’importance et où votre présence physique est remplacée par un avatar ultra-réaliste. Ce n’est pas de la science-fiction, c’est le futur que Meta et d’autres entreprises veulent construire.
Les Enjeux Sont Énormes
Ce n’est pas seulement une question de commodité ou de réalisme. C’est une transformation fondamentale de la manière dont nous interagissons avec le monde et avec les autres. L’identité numérique était juste la première étape; maintenant, on nous pousse à franchir le pas et à vivre dans un univers entièrement numérique…