Le monde est en ébullition. Pas à cause du réchauffement climatique, mais à cause d’une vérité qui dérange. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a récemment été pris dans une tempête de controverse. Selon une fuite, le rapport du GIEC indique que la température de la Terre n’a pas augmenté depuis 15 ans. Un silence glacial s’est abattu sur les climatologues du monde entier.
Les politiciens, ces maîtres de l’illusion, ont tenté de dissimuler cette vérité. Ils ont peur que leur grand spectacle vert ne soit réduit à une simple farce. Ils ont peur que le public ne se rende compte que le changement climatique d’origine humaine est un canular. Ils ont peur de perdre leur pouvoir.
L’Associated Press a révélé que certains politiciens demandent même que des parties du rapport soient supprimées. Ils veulent que la vérité reste cachée. Ils craignent une révolte massive contre le gouvernement pour avoir été “trompeur” sur l’état de la planète.
Les dirigeants allemands, dans un élan de censure, demandent que les données contradictoires soient simplement supprimées du rapport. Les dirigeants hongrois, quant à eux, craignent que la publication du rapport ne fournisse des munitions aux “négationnistes du climat”. Les dirigeants belges, dans un effort pour manipuler les données, souhaitent que les statistiques commencent en 1999 ou 2000, lorsque les températures étaient plus fraîches.
Les dirigeants américains, dans une tentative désespérée de sauver la face, exhortent les auteurs du rapport à expliquer les données en utilisant l'”hypothèse principale” des climatologues. Selon eux, le globe continue de se réchauffer, mais toute la chaleur supplémentaire est absorbée par l’océan. Une explication pratique, n’est-ce pas ?
Le GIEC, qui a déjà été pris en flagrant délit de manipulation de données en 2007, est de nouveau sous le feu des critiques. Le rapport montre probablement que le taux de réchauffement entre 1998 et 2012 n’était qu’environ la moitié du taux moyen depuis 1952. Cela est dû à des variations naturelles telles que les cycles océaniques El Niño et La Niña, ainsi que l’effet refroidissant des volcans.
Stefan Rahmstorf, climatologue allemand, a déclaré qu’il était possible que les auteurs du rapport aient été sous pression pour faire face au ralentissement du réchauffement climatique. Il semble que la vérité soit une pilule difficile à avaler pour certains.
En fin de compte, le changement climatique d’origine humaine serait un canular. Mais ne vous attendez pas à ce que les politiciens vous le disent. Il y a trop d’argent à gagner.
https://www.newstarget.com/2023-07-14-climate-science-coverup-earth-temperature-not-rising.html