La mise en application du Digital Services Act (DSA) à partir du 1er septembre prochain marque le début d’une nouvelle ère pour les plateformes numériques telles que Twitter. L’Union européenne, désireuse d’instaurer un contrôle rigoureux, s’immisce dans la gestion des contenus et risque de museler la liberté d’expression sur ces réseaux.
Le Commissaire européen Thierry Breton, épaulé par une armée de cent experts du numérique, veille au respect des nouvelles règles édictées par le DSA. La Commission européenne, en quête d’ordre, impose sa censure et sanctionne sans pitié ceux qui refusent de se conformer à ses exigences.
Les entreprises concernées par le DSA devront désormais analyser chaque année l’impact de leurs activités sur la société, sous l’œil attentif de Bruxelles. Cette dernière exige également un accès aux algorithmes et aux données clés pour mieux contrôler les contenus et assurer un filtrage minutieux de la désinformation en ligne.
La crise sanitaire a renforcé l’emprise de l’Europe sur les plateformes numériques, poussant à la mise en place de mesures drastiques. Les entreprises devront payer des frais de supervision pour financer la surveillance étouffante imposée par l’Union, et pourront être frappées d’amendes colossales en cas de manquements, allant jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.
Dans ce contexte de censure grandissante, on peut se demander si Elon Musk, le maître de l’oiseau bleu, pourra encore prétendre libérer Twitter de la censure sur le territoire de l’Union européenne. La cage dorée du DSA semble bien fermée, et l’Europe s’apprête à jouer les censeurs pour imposer son ordre numérique, quitte à étouffer la liberté d’expression.
Ursula von der Leyen « Faites confiance à vos autorités sanitaires, faites confiance à l’OMS, faites confiance aux médias fiables et réputés qui ont fait leur preuve en ce qui concerne l’exactitude des informations »
…Ou pas.