Il était une fois, dans un monde où la science était censée être notre bouclier, une histoire de trahison et de tromperie. Les protagonistes ? Pfizer, Moderna, et les régulateurs sanitaires. Leur crime ? Ignorer des décennies de législation sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) pour nous vendre leurs “vaccins” à ARN modifié.
Ces vaccins, sont des OGM déguisés. Oui, ces mêmes OGM que nous avons tant combattus pour protéger notre santé et notre environnement. Les nanoparticules lipidiques contenant des ARN modifiés, ces fameux “vaccins”, remplissent les critères légaux pour être classés comme OGM. Mais cela, Pfizer, Moderna et les régulateurs le savaient déjà.
Et que dire de leurs affirmations, répétées ad nauseam, selon lesquelles les ARN modifiés ne pénètrent pas dans le noyau de la cellule et ne se transcrivent pas à l’envers dans le génome humain ? Une belle fable… Plus de quarante ans de connaissances scientifiques, couronnées par des prix Nobel, indiquent que les ARN modifiés peuvent s’intégrer dans le génome humain. Mais cela, l’OMS et les experts régulateurs ne nous l’ont pas dit.
Et voilà comment, sous couvert de jargon scientifique et de langage juridique, on nous a vendu un loup pour un mouton. Les organismes de réglementation médicale, censés protéger notre santé, ont joué le jeu, feignant de servir l’intérêt public.
Mais ne nous y trompons pas, cette histoire n’est pas un conte de fées. C’est un récit de tromperie sophistiquée, une trahison de la confiance du public. Et pendant ce temps, nous, les moutons, sommes laissés à la merci du loup.
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