L’adn vaccinal s’incruste : une bombe à retardement ?

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Des recherches récentes suggèrent que ces vaccins pourraient avoir des effets à long terme inattendus et potentiellement très dangereux. Plus précisément, il semble que l’ADN vaccinal pourrait s’intégrer de manière permanente dans le génome humain, une perspective qui soulève des questions alarmantes sur les conséquences potentielles pour la santé à long terme, y compris le développement de maladies chroniques et de cancers.

L’histoire a commencé avec l’ancien banquier suisse Pascal Najadi. Triplement vacciné, Najadi a découvert que son corps continue de produire la protéine spike du vaccin plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech. Cela a été révélé par une analyse sanguine qui a montré la présence de cette protéine, mais pas de capsules nanolipidiques présentes dans les injections. Pour les scientifiques, cela indique que la protéine spike n’est pas un résidu de l’injection du vaccin, mais qu’elle a été produite récemment par le corps du vacciné.

Cette découverte a incité d’autres personnes à faire analyser leur sang, et elles ont également trouvé que leur corps produisait en permanence la protéine spike. Cela a soulevé des questions troublantes : pourquoi cette protéine persiste-t-elle dans le corps bien au-delà des 14 jours initialement annoncés par les autorités sanitaires ? Et quels pourraient être les effets à long terme de cette production continue de protéine spike ?

Un groupe de chercheurs indépendants a décidé de creuser plus profondément. Ils ont analysé des lots de vaccins Pfizer et Moderna et ont fait une découverte choquante : ces vaccins contiennent des quantités anormalement élevées d’ADN, bien au-delà des limites de contamination fixées par l’Agence européenne des médicaments. Cet ADN, qui aurait dû être éliminé lors de la production du vaccin, pourrait s’intégrer de manière permanente dans le génome des cellules humaines. Cela signifie que ces cellules pourraient être capables de produire de la protéine de pointe vaccinale de manière autonome, toute leur vie.

Cette découverte a de graves implications. L’intégration permanente de l’ADN vaccinal dans le génome humain pourrait potentiellement déclencher des maladies chroniques et des cancers. De plus, l’ADN vaccinal contient des gènes qui le rendent résistant à deux antibiotiques, ce qui pourrait contribuer à l’augmentation de la résistance aux antibiotiques à l’échelle mondiale.

Il est clair que nous naviguons en territoire inconnu avec ces nouvelles technologies vaccinales. Les vaccins à ARN messager sont en réalité des thérapies géniques encore au stade expérimental. Il est urgent que les autorités sanitaires reconnaissent ces problèmes et entreprennent des analyses génétiques chez les vaccinés pour comprendre l’ampleur de l’intégration de l’ADN vaccinal dans les cellules humaines. Il est également crucial de comprendre les implications de cette intégration pour la santé à long terme des individus vaccinés.

Ces découvertes soulèvent également des questions sur la transparence et la responsabilité dans le processus de développement et de production des vaccins. Les fabricants de vaccins ont la responsabilité de garantir la qualité de leurs produits, mais ces découvertes suggèrent que des erreurs ont été commises. Les autorités sanitaires, pour leur part, doivent veiller à ce que les fabricants respectent les normes de qualité et de sécurité les plus strictes.

Ces découvertes soulignent l’importance de la recherche indépendante. Sans le travail de chercheurs indépendants comme ceux qui ont découvert la présence d’ADN vaccinal dans les vaccins Pfizer et Moderna, nous ne serions peut-être pas conscients de ces problèmes potentiels. Il est essentiel de soutenir et de valoriser la recherche indépendante pour garantir la sécurité et l’efficacité de nos interventions de santé publique.

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