Plongeons sans fioritures dans les abysses troubles de la technologie ARNm, ce prétendu “vaccin” qui fait tant jaser.
D’emblée, appelons un chat un chat : ce qu’on nous sert n’est pas un vaccin. Non, nous avons affaire à un produit biotechnologique contenant de l’ARNm modifié, emballé dans des nanoparticules lipidiques, prêt à envahir nos cellules tel un cheval de Troie moléculaire. Contrairement aux vaccins traditionnels qui stimulent poliment notre système immunitaire avant de prendre congé, cette merveille moderne s’accroche. Les protéines produites persistent dans notre organisme, transformant nos cellules en usines à protéines étrangères. Une redécoration cellulaire dont on se serait bien passé !
En 2021, nos chers bureaucrates ont eu la brillante idée de réviser la définition du vaccin. Désormais, ces produits n’ont plus besoin de créer une immunité spécifique contre une maladie. Non, il suffit simplement d’éliciter une réponse immunitaire, même si celle-ci est non spécifique ou adverse.
On nous parle d’ARNm, mais il s’agit en réalité d’ARNm modifié (modRNA). Une nuance qui a son importance. Ce modRNA est composé d’un code génétique synthétique, où l’uridine naturelle est remplacée par son cousin synthétique, le Psi. Un remplacement qui n’est pas sans conséquences. Ce modRNA s’attarde bien plus longtemps que son homologue naturel. Il a été détecté dans le sang jusqu’à six mois après l’injection. Une persistance qui soulève de nombreuses questions.
Notre cocktail ARNm contient un invité surprise : de l’ADN contaminant. Cet ADN, provenant du processus de fabrication, pourrait s’intégrer à notre génome. Une perspective qui donne froid dans le dos. Cerise sur le gâteau, les contaminants ADN contiennent une séquence de virus de singe, le fameux Simian Virus-40. Un ajout simiesque dont on se serait bien passé dans notre patrimoine génétique.
On nous avait promis que ce “vaccin” resterait sagement dans le muscle. Quelle naïveté ! Les nanoparticules partent en exploration dans tout le corps : cœur, cerveau, ovaires, testicules… Aucun organe n’échappe à leur visite touristique. Ces nanoparticules ne se contentent pas de visiter, elles laissent aussi des souvenirs. Hautement inflammatoires et toxiques, elles promettent des dégâts croissants à chaque injection.
L’événement indésirable vedette ? La myocardite et la péricardite, particulièrement chez les jeunes. Une inflammation cardiaque chez ceux qui ont le moins de risques face à la maladie, quelle ironie ! Ces inflammations résultent probablement d’une attaque auto-immune sur les cellules cardiaques ayant reçu les particules injectées. Un cas classique où le remède est pire que le mal.
Le clou du spectacle reste la possibilité d’intégration de l’ARNm dans notre ADN. Contre toute attente, des fragments de l’injection d’ARNm ont été retrouvés dans le sang des patients. Une découverte qui remet en question toutes les assurances qu’on nous avait données. L’ARNm codant la protéine spike a été retrouvé dans le noyau de nos cellules. Une intrusion au cœur même de notre patrimoine génétique qui soulève de graves inquiétudes.
Ce “vaccin” ARNm s’apparente à une loterie biotechnologique aux conséquences imprévisibles. Inflammation, modifications génétiques imprévues, production de protéines étrangères… Le catalogue des effets potentiels donne le vertige.
Dormez bien, chers cobayes, et n’oubliez pas de compter les mutations génétiques avant de vous endormir (…)