Le 15 avril 2019, un incendie dévastateur a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, provoquant une onde de choc mondiale. Rapidement, les autorités et les médias ont attribué l’origine de cet incendie à un accident, écartant toute autre hypothèse. Pourtant, des éléments troublants et des coïncidences étranges pourraient laisser penser à un scandale d’État soigneusement dissimulé derrière le brasier.
Tout d’abord, il est important de rappeler que plusieurs incendies ont touché des églises et cathédrales en France avant celui de Notre-Dame, et que les actes anti-chrétiens ont augmenté ces dernières années. De plus, l’incendie de la toiture de Notre-Dame s’est propagé à une vitesse stupéfiante, soulevant des interrogations sur la nature des matériaux enflammés et la possibilité d’un accélérateur pyrotechnique. En effet, l’étrange fumée jaune dégagée par le sinistre pourrait être le signe d’un oxyde métallique, comme ceux présents dans la thermite, un composé hautement inflammable.
Par ailleurs, des vidéos ont montré une personne sur le toit de la cathédrale peu de temps avant le déclenchement de l’incendie, ce qui interroge sur la possibilité d’un acte volontaire. De plus, l’accès aux tours de Notre-Dame a été restreint plus tôt que d’habitude ce jour-là, ce qui pourrait indiquer une volonté de préparer les lieux pour un événement planifié.
Derrière cet incendie, un projet de rénovation de l’Île de la Cité pourrait être en jeu. Depuis le début des années 2000, les élites parisiennes envisagent un vaste plan de réaménagement des bâtiments majeurs de l’îlot central, incluant Notre-Dame. Les Jeux Olympiques de 2024 auraient pu servir de prétexte pour accélérer ces travaux, et le Président Macron aurait voulu imposer une procédure d’exception pour contourner les contraintes habituelles liées à la protection du patrimoine.
Si l’on tient compte des éléments troublants et des coïncidences étranges entourant l’incendie de Notre-Dame, il est légitime de se poser des questions sur la version officielle de l’accident. Les autorités auraient-elles caché un scandale d’État derrière le brasier de Notre-Dame, afin de précipiter un projet de rénovation controversé ? Les médias ont-ils failli à leur mission d’investigation en acceptant aveuglément la version des faits imposée par le pouvoir ? Seule une enquête approfondie et transparente pourrait lever les doutes et faire éclater la vérité. On en est loin.