Le 3 janvier dernier, la commission européenne a autorisé l’inclusion de poudre de grillon dans nombre de préparations culinaires…
Les grillons, ces petites créatures qui chantent doucement dans la nuit, ont trouvé une nouvelle place… dans nos assiettes. Et pas comme un délice exotique, mais comme une alternative à la viande, promue par certains comme une solution miracle à la soit disant crise climatique. Mais est-ce vraiment une solution ou un autre cauchemar culinaire ?
Selon un article de Natural News, diverses formes de grillons sont désormais vendues pour la consommation humaine. C’est présenté comme une réponse à la soi-disant “folie du culte climatique” qui suggère que si suffisamment d’humains mangent des insectes, nous changerons le climat (…). Pendant ce temps, la chaîne d’approvisionnement en viande est détruite par des gouvernements qui prétendent que le dioxyde de carbone est un polluant, même s’il est le pilier de la photosynthèse. Et nous sommes tous encouragés à manger des grillons pour “sauver la planète”.
Mais que mangeons-nous réellement ? Une étude de 2019 a mis en évidence que les insectes sont souvent porteurs de parasites et peuvent transmettre des maladies dangereuses comme l’E.Coli, les streptocoques ou la klebsielle. De plus, les autorités sanitaires ont exprimé de sérieuses préoccupations concernant la capacité des grillons à provoquer des allergies graves. La consommation régulière de grillons ne correspond en rien à un régime sain.
Les photos microscopiques montrent que la poudre de protéines de grillon contient toutes les parties des grillons: les jambes, les poils, les segments des yeux, les organes d’excrétion, les ailes et plus encore. Et oui, cela inclut également le “poop chute claw” du grillon, la partie qui s’ouvre et se ferme pour évacuer les matières fécales.
La solution la plus radicale serait de cultiver sa propre nourriture ou de l’acheter à des producteurs locaux. Mais cela n’est pas toujours possible pour tout le monde. Désormais, toute nourriture va devenir suspecte, jusqu’au pain que l’on trouve dans les boulangeries.