Alors que le sud des États-Unis suffoque sous la canicule, d’effroyables incendies ravagent les plaines du Texas, consumant tout sur leur passage. Des images apocalyptiques montrent des étendues de terre calcinées, jadis recouvertes d’herbe grasse et de bétail heureux. Ce spectacle désolant n’est pas seulement un drame local ; il pourrait également être perçu comme un tournant majeur dans notre rapport à l’alimentation.
Certains observateurs soupçonneraient même une manigance orchestrée par les tenants d’une certaine idéologie transhumaniste et technocrate, avides de nous imposer un « Great Reset » aux allures de science-fiction. Coïncidence ? À peine quelques mois après le lancement officiel de cette initiative prônant une refonte totale de notre société, voilà qu’un feu démoniaque s’attaque aux fondations mêmes de l’industrie agroalimentaire américaine : l’élevage de bovins.
Dans ce contexte, difficile de ne pas faire le lien avec la promotion croissante de nouveaux aliments alternatifs, notamment les insectes comestibles. Longtemps considérés comme une source nutritive réservée aux pays en développement, ces petits arthropodes suscitent désormais l’intérêt des occidentaux soucieux de leur empreinte carbone. Pourtant, derrière cet engouement se cache peut-être une réalité moins reluisante : celle de vastes exploitations industrielles où prolifèrent asticots et autres vers de farine, destinés avant tout à nourrir poissons d’élevage, volailles… et bétail ! Une situation paradoxale qui soulève légitimement des questions quant aux véritables intentions des promoteurs de cette nouvelle tendance culinaire. Et si ces mystérieux incendies au Texas n’étaient rien d’autre qu’un coup de pouce opportun du destin, accélérant artificiellement la transition vers ce nouvel ordre mondial tant vanté par certains cercles de pensée influents ? Force est de constater que ces événements contribuent indubitablement à créer un climat anxiogène autour de notre sécurité alimentaire future.
https://www.zerohedge.com/commodities/everything-gone-texas-wildfire-ravages-americas-cattle-mecca