Novak Djokovic, la star du tennis serbe, a récemment partagé sa position sans détour sur un sujet brûlant : le vaccin Covid-19. Il l’a fait lors d’une interview explosive pour Corriere della Serra, revendiquant une perspective ni pro-vaccin, ni anti-vaccin, mais résolument “pro-choix“.
Cette révélation fait écho à l’affirmation de Djokovic selon laquelle 95% des informations diffusées à son sujet ces trois dernières années sont fausses. C’est là qu’il nous fait une promesse, celle d’offrir la vérité sur ses opinions, ses expériences et son intégrité.
Sa défense pour la liberté de choisir ce qu’on injecte dans son corps n’a pas été reçue sans contestation. La controverse a atteint son apogée lors de son séjour en Australie, qu’il décrit comme une “prison“, où il a rencontré des réfugiés de guerre. Malgré la dureté de l’expérience, Djokovic se félicite d’avoir pu mettre en lumière le sort des réfugiés, grâce à sa notoriété.
Mais la résilience de Djokovic ne s’arrête pas là. Il exprime son désir de retrouver un jeune réfugié syrien aux États-Unis cet été, preuve de son humanité et de son engagement à utiliser sa plateforme pour influencer le changement.
Il revient ensuite sur sa propre expérience avec le Covid-19, révélant avoir suivi le traitement et s’être rétabli, tout en respectant toutes les règles. L’ironie ? Sa situation a été politisée, le transformant en une menace mondiale, une cible pour les médias et les défenseurs du “courant dominant”. Cette expérience, couplée à une désillusion vis-à-vis des médias et de certains de ses collègues, a été décevante pour lui. Pourtant, il a persisté, montrant une force de caractère inébranlable.
Tout cela témoigne de l’incroyable résilience de Djokovic face à la critique et de son engagement envers la vérité. La division sociale actuelle peut être décourageante, mais il demeure un pilier de force et d’optimisme.