Dans un tourbillon de scandale et d’opprobre, le cercle vicieux des fréquentations d’Epstein s’élargit à un rythme effréné, révélant des figures notoires et des secrets honteux. Les sombres recoins de la société sont éclairés, exposant les liaisons incestueuses entre les puissants et les pécheurs. Personne n’est à l’abri des griffes d’Epstein.
William Burns, directeur de la CIA et maître des secrets, avait prévu des rendez-vous avec Epstein en 2014, malgré sa condamnation. Quels mystères, quels sombres desseins étaient en jeu entre ces deux hommes ?
Kathryn Ruemmler, ex-conseillère de la Maison Blanche, semble elle aussi avoir été charmée par les délices interdits d’Epstein. Des dizaines de réunions entre les deux protagonistes jettent une ombre sur son intégrité.
Leon Botstein, président du Bard College, a invité le sulfureux Epstein sur le campus, entouré de jeunes femmes innocentes. Quelle ironie cruelle de la part d’un homme chargé d’éduquer la jeunesse !
Noam Chomsky, l’érudit, l’auteur et le militant politique, devait dîner avec le diable en personne chez lui en 2015. Le délice intellectuel d’une telle rencontre est à la fois troublant et moralement répréhensible.
Le “livre noir” d’Epstein ne révèle que la partie visible de l’iceberg, laissant entrevoir un réseau bien plus vaste de compromissions et de trahisons. Les documents inédits dévoilent un sombre tableau de la réalité, où personne ne semble être à l’abri du scandale.