Qui aurait cru que notre chère Première ministre, Elisabeth Borne, aurait défrayé la chronique avec une romance digne d’un roman à l’eau de rose? Ou peut-être plutôt d’une comédie romantique où l’héroïne jongle entre sa vie publique et son amoureux mystérieux… Ou inexistant?
Bérengère Bonte, journaliste et auteure du livre “Elisabeth Borne, la Secrète”, a jeté un pavé dans la mare en soulevant la question du compagnon de la Première ministre, dont l’existence semble aussi tangible que celle du Père Noël. C’est une histoire pleine de rebondissements, d’amour et de mystère… Ou pas?
Dans un récit digne d’un feuilleton télévisé, Elisabeth Borne a nié les rumeurs d’homosexualité en affirmant qu’elle avait un compagnon. Ce dernier, surnommé “JC“, aurait ensuite été photographié en 2022 en compagnie de la Première ministre dans le magazine Closer. Mais un étrange détail a éveillé les soupçons de Bérengère Bonte : ce “JC” est pacsé avec une autre femme depuis 2021. Alors, où est la vérité?
On imagine aisément les scénaristes de cette histoire rocambolesque se réunissant autour d’une table, se grattant la tête et cherchant désespérément un twist pour épicer le tout. JC serait-il un homme à femmes, partageant son temps entre une épouse délaissée et une Première ministre passionnée? Ou peut-être est-il simplement un personnage inventé de toutes pièces pour détourner l’attention des rumeurs d’homosexualité?
Mais que serait une bonne histoire sans une touche de politique? JC est décrit comme un homme engagé, catholique, de gauche et écolo. Ancien président de l’association Les Poissons Roses, il a même été embauché par Elisabeth Borne en 2015 lorsqu’elle présidait la RATP. Coïncidence? Ou alors, une véritable histoire d’amour (politique) qui a vu le jour dans les couloirs du pouvoir?
Alors, qu’en est-il vraiment de ce compagnon fantôme? Matignon confirme l’existence de JC, mais Bérengère Bonte n’a pas obtenu de nouvelles suite à ses demandes d’explications. L’amoureux mystérieux semble s’être évaporé dans les méandres du pouvoir, laissant derrière lui un parfum d’incertitude et de romance à peine voilée.
Qu’importe l’existence réelle de ce JC? Notre Première ministre aurait-elle besoin de prouver qu’elle est amoureuse pour gouverner? Et si l’amoureux de notre Première ministre était en réalité une chimère créée pour nous divertir, ne serait-ce pas là un parfait exemple de l’adage “pour vivre heureux, vivons cachés”?