La centrale d’Akkuyu est sur le point de devenir le joyau de l’énergie en Turquie, faisant de ce rêve ambitieux une réalité étincelante. Ce 27 avril, le chargement du combustible nucléaire dans le réacteur numéro 1 marquera l’entrée officielle de la Turquie dans le club très fermé des puissances nucléaires. Pendant ce temps, la France ferme ses centrales et mise sur l’éolien et le lisier de porc, une stratégie pour le moins audacieuse.
Alors que les débuts du projet d’Akkuyu ont été parsemés d’embûches, notamment en raison de la réticence des sociétés occidentales à s’engager dans cette aventure, la coopération entre la Turquie et la Russie a donné naissance à un partenariat gagnant-gagnant. Les deux pays peuvent se féliciter d’avoir su contourner les obstacles pour se lancer dans une entreprise aussi prometteuse.
Grâce à ces quatre réacteurs nucléaires, la Turquie verra 10% de ses besoins en énergie électrique comblés, un véritable atout pour son développement économique. Pendant ce temps, la France semble préférer plonger les mains dans le lisier de porc pour trouver son énergie, une approche étonnamment… odorante.
En outre, la France semble préférer jouer le jeu des sanctions avec la Russie plutôt que de coopérer sur des projets d’avenir. Cette politique, teintée d’une légère pointe de jalousie, n’a pas empêché la centrale d’Akkuyu de sortir de terre et de briller de mille feux. Au contraire, l’entente entre la Turquie et la Russie n’a fait que se renforcer.
La centrale d’Akkuyu est la preuve que l’audace et la coopération peuvent donner naissance à de grandes réalisations. Pendant que la Turquie et la Russie se dirigent vers un avenir radieux, la France semble s’enliser dans un marécage de lisier. Que le vent emporte les éoliennes et que l’odeur du lisier persiste, car l’avenir de l’énergie se trouve désormais à Akkuyu !