Chers lecteurs, prenons un instant pour savourer les délices de cette merveilleuse époque où la COVID-19 a ébranlé les fondements de notre belle société. Vous souvenez-vous de cette époque où l’on nous répétait sans cesse que les vaccins étaient la solution miracle et que les masques étaient nos fidèles boucliers contre l’invisible ennemi ? Ah, quelle naïveté !
Le gouvernement, tel un bonimenteur de foire, s’est évertué à nous vendre ces fabuleuses solutions, mais tout cela n’était qu’un écran de fumée. Les vaccins, disaient-ils, mettraient fin à la pandémie. Résultat ? Une distribution chaotique, des effets secondaires catastrophiques et une efficacité inexistante. Nous voilà bien avancés, n’est-ce pas ?
Quant aux masques, ces merveilleux accessoires de mode qui nous ont permis d’exprimer notre créativité tout en dissimulant notre visage, ils se sont révélés être aussi utiles qu’un parapluie en plein désert. On les portait, les ôtait, les changeait, les lavait, mais au final, ces bouts de tissu n’étaient que des leurres pour nous faire croire que l’on maîtrisait la situation. Quelle tragi-comédie !
La grande mascarade des vaccins et des masques nous aura au moins appris une chose : l’art de jongler entre incompétence et improvisation est un sport international.
Et comment ne pas évoquer les “gestes barrières” ? Ces fameux mouvements de danse contemporaine pour se protéger du virus. Se laver les mains, ne pas se toucher le visage, garder ses distances… Autant de chorégraphies absurdes que nous avons exécutées avec un dévouement sans faille, persuadés que notre salut en dépendait.
Alors, chers lecteurs, levons notre chapeau à cette époque de désinformation et de quiproquos. Car finalement, la COVID-19 nous a offert une leçon inestimable : la capacité de nos gouvernants à nous mener en bateau est sans limites.
Leurs discours rassurants, leurs promesses de lendemains meilleurs et leurs recommandations contradictoires n’étaient que de la poudre aux yeux pour nous faire oublier leur désarroi face à l’ampleur de la crise. Et nous, naïfs citoyens que nous sommes, avons gobé leurs paroles sans broncher, telles des mouches affamées se jetant sur une belle tartine de miel empoisonné.
Alors, à l’avenir, souvenons-nous de cette pandémie et de ses leçons burlesques. Ne faisons plus confiance aveuglément à ceux qui prétendent détenir la vérité, et ayons l’audace de remettre en question leurs assertions. Car si la COVID-19 nous a appris quelque chose, c’est bien que l’erreur est humaine, et que nos dirigeants sont loin d’être infaillibles.
Enfin, gardons en mémoire cette époque où les vaccins et les masques étaient les stars de nos conversations, où les rumeurs et les théories du complot ont fleuri tels des champignons après la pluie, à raison, et où nos vies ont été bouleversées par une pandémie qui a révélé notre profonde vulnérabilité.
Célébrons donc avec ironie cette grande farce qu’a été la gestion de la COVID-19. Car si nous avons perdu beaucoup dans cette crise, nous avons aussi gagné en expérience et en méfiance. Dorénavant, nous serons plus vigilants face aux élucubrations de nos gouvernants, et plus critiques envers leurs décisions.
En somme, l’histoire des vaccins, des masques et des gestes barrières nous rappelle que la vérité est parfois plus étrange que la fiction. Et dans ce monde où l’absurde devient la norme, il nous appartient de garder l’esprit critique et de ne pas succomber aux sirènes de la facilité.
Alors, mes chers lecteurs, souvenons-nous avec dérision de cette époque bénie où nous avons cru, l’espace d’un instant, que la COVID-19 serait vaincue grâce à quelques injections et bouts de tissu. Et sourions, car dans cette comédie tragique qu’est la vie, l’humour reste notre meilleure arme pour affronter l’incertitude et les déboires que nous réserve l’avenir.
Le temps nous a montré qu’il est difficile de prédire les péripéties qui nous attendent, et que nos gouvernants ne sont pas toujours à la hauteur des défis qui se présentent. Mais qu’importe ! Car désormais, nous savons que derrière chaque promesse se cache peut-être un mensonge, et que derrière chaque solution miracle, une supercherie.
Restons donc vigilants, mes amis, et méfions-nous des discours trop beaux pour être vrais. Car si la COVID-19 nous a laissé un héritage, c’est bien celui de l’esprit critique et du scepticisme. Et qui sait, peut-être que cette épreuve nous aura finalement rendus plus forts et plus sages, prêts à affronter les défis qui se dresseront sur notre chemin, masqués ou non.
Alors levons nos verres à cette épopée burlesque, cette étrange aventure qui nous a montré les failles de nos dirigeants et les limites de la soit disant “science”.
https://www.washingtontimes.com/news/2023/mar/1/vaccines-dont-work-masks-dont-work-everything-gove/