La Quercétine, un flavonoïde naturel présent dans de nombreux fruits et légumes, a fait l’objet d’une attention croissante ces dernières années pour ses propriétés anti-cancer prometteuses[1][2][3][4][5]. Des études in vitro et in vivo ont démontré que la quercétine peut inhiber la prolifération tumorale, stimuler l’apoptose des cellules cancéreuses, bloquer l’angiogenèse et réduire les métastases via de multiples mécanismes[1][2][4].
Parmi ses effets anti-cancer uniques, la quercétine est capable de stabiliser et d’augmenter les niveaux de p53, une protéine clé dans la mort des cellules cancéreuses par apoptose[1][4]. Cela est particulièrement pertinent pour les patients atteints de « Turbo Cancer » suite aux vaccins à ARNm COVID-19 de Pfizer ou Moderna[4]. De plus, la quercétine peut tuer les cellules souches cancéreuses responsables des cancers agressifs et des récidives, contre lesquelles la chimiothérapie standard est impuissante[2][4].
La quercétine régule également les microARN impliqués dans de nombreux cancers, une piste pour expliquer les « Turbo Cancers » induits par les vaccins à ARNm[1][4]. Ses effets ont été le mieux étudiés dans les cancers du sein et colorectal[1][2][3][4][5]. Des études sur des souris ont montré son efficacité contre les cancers du sein, colorectal, du foie, de la prostate, du poumon, du pancréas, le mélanome, la leucémie et le cancer gastrique[1][2][4].
Cerise sur le gâteau, la quercétine est synergique avec de nombreux traitements : elle augmente l’efficacité de la chimiothérapie et de la radiothérapie, inverse la résistance aux médicaments chimiothérapeutiques (crucial pour les patients « Turbo Cancer » résistants aux traitements standard) et potentialise d’autres composés bioactifs comme le resvératrol et les catéchines du thé vert[1][2][4].
Alors que la quercétine est largement disponible dans l’alimentation (oignons, origan, sarrasin, épinards, canneberges, chou frisé, cerises, myrtilles, asperges)[4], elle devrait faire partie de la plupart des « traitements alternatifs du cancer ». Sûre et désormais disponible dans des formulations plus biodisponibles[4], la quercétine semble être un atout majeur dans la lutte contre le cancer.
Mais attention, malgré des résultats prometteurs in vitro et chez l’animal, des études cliniques sont encore nécessaires pour confirmer son efficacité et sa sécurité chez l’homme[1][2][5]. En attendant, mangez des oignons et buvez du thé vert, on ne sait jamais. Et si vous avez eu un vaccin COVID-19 à ARNm, croisez les doigts pour que la quercétine répare les dégâts avant qu’il ne soit trop tard. Santé !
[1] https://cancerci.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12935-022-02677-w
[2] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0753332219352266
[3] https://www.mskcc.org/cancer-care/integrative-medicine/herbs/quercetin
[4] https://cellandbioscience.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13578-020-00397-0
[5] https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/10942912.2023.2252619