Dans une révélation choquante, America Legal First (ALF) a réussi à déterrer des preuves d’un groupe secret de “journalistes” embauchés par le gouvernement américain pour propager sa propagande et ses mensonges au public. Ces “journalistes”, qui sont en réalité des propagandistes payés, “vérifient les faits” dans les nouvelles qui circulent en ligne et éliminent tout ce que Big Brother juge “faux” ou “trompeur”.
Parmi les noms clés obtenus à partir de ces documents, on trouve des personnes qui se réunissent régulièrement pour discuter des “points d’action” que le gouvernement souhaite voir accomplis. Ces “vérificateurs de faits” semblent tous être des activistes idéologiques affiliés au tristement célèbre réseau Poynter, et tous semblent être payés par les mêmes sources néfastes pour régurgiter les mêmes mensonges trompeurs sur ce qui se passe réellement dans le monde.
Ironiquement, tous ces soi-disant “vérificateurs de faits indépendants” sont financés par les mêmes sources. Ils sont également tous accrédités par l’IFCN, une organisation soutenue par Poynter qui donne un tampon de “légitimité” à leurs activités de modération de contenu en ligne.
Prenez par exemple Angie Holan, rédactrice en chef de PolitiFact et affiliée au groupe depuis son lancement en 2007. En 2009, Holan a remporté un prix Pulitzer et est depuis restée profondément ancrée dans le réseau Poytner, participant à des conférences sur la manière d’étendre le complexe industriel de la censure.
Ensuite, nous avons Ana Brakus, directrice exécutive et journaliste du média croate Faktograf. Brakus critique sans relâche le “mouvement politique et civique ultraconservateur” pour la diffusion de “désinformation”. Malgré sa prétention à être une organisation à but non lucratif dédiée au journalisme de qualité, à la pensée critique et à la création d’un public informé, Faktograf est essentiellement une copie conforme de PolitiFact, ayant reçu un soutien financier direct du Département d’État.
Barbara Whitaker de l’Associated Press (AP) mérite également une mention importante. Comme les autres, l’AP est financée par le Département d’État, ce qui signifie qu’il s’agit d’un média d’État, pas différent de ceux dirigés par la Chine communiste. L’AP est tout sauf indépendante, en d’autres termes, malgré sa prétention à être neutre et à se contenter de rapporter les “nouvelles”.
Enfin, il y a Teyit, une plateforme turque de “vérification des faits” qui, comme les autres, a des liens avec l’État profond du gouvernement américain. Après avoir “rapporté” sur les “problèmes de désinformation concernant les réfugiés” en 2016, Gülin Çavuş a attiré l’attention de Poynter qui l’a aidée à obtenir une bourse de l’IFCN l’année suivante, en 2017. Elle est maintenant la rédactrice en chef d’un site de vérification des faits accrédité par Poynter qui a une influence démesurée sur le contenu qui est “modéré”.
Ces révélations soulèvent des questions troublantes sur la liberté de la presse et la manipulation de l’information. Où est la vérité dans tout cela ? Qui peut-on croire ? Et surtout, qui contrôle réellement les “nouvelles” à l’ère moderne ?