En Occident, il est impensable de remettre en question l’injection systématique de cocktails immunisants à des bébés de quelques semaines, sous peine d’être immédiatement rangé dans la catégorie des hérétiques. Pourtant, un pays a osé : le Japon. Et, surprise, la terre n’a pas cessé de tourner. Pire (ou mieux, selon le point de vue), la fameuse crise du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) s’est littéralement volatilisée. Mais chut, il ne faut surtout pas le dire trop fort sous nos latitudes, ça pourrait donner des idées.
C’est le Dr Pierre Kory, médecin américain au CV long comme le bras, qui a eu le culot de rappeler ce petit détail gênant. Selon lui, dès que le Japon a mis fin à la vaccination obligatoire des tout-petits, la mortalité néonatale a chuté. Un hasard, vraiment ? Ou la preuve éclatante que le dogme vaccinal occidental mérite un sérieux dépoussiérage ?
Dans les années 1970, le Japon est confronté à une vague de décès de nourrissons. Plutôt que de se réfugier derrière des statistiques rassurantes et des discours bien huilés, les autorités sanitaires japonaises prennent une décision radicale : relever l’âge de la première vaccination à deux ans. Et là, miracle : les cas de SMSN s’effondrent. Les bébés japonais, soudainement privés de piqûres précoces, cessent de mourir mystérieusement dans leur berceau.
On imagine la scène dans les ministères occidentaux : « Surtout, ne regardez pas ce qui se passe au Japon, ça pourrait semer le doute dans les esprits ! » Car pendant ce temps, en Amérique et en Europe, on continue de vacciner à tour de bras, tout en se lamentant sur la persistance de la SMSN. Mais pas question de remettre en cause la sainte trinité des vaccins, de la précocité et du calendrier rigide.
Il faut dire que l’Occident a une relation quasi mystique avec la vaccination. Remettre en question le calendrier vaccinal, c’est comme douter de la gravité ou affirmer que la Terre est plate. Les études qui montrent une corrélation entre vaccination précoce et SMSN ? Circulez, il n’y a rien à voir. Les témoignages de parents qui racontent avoir perdu leur bébé quelques jours après une injection ? Des coïncidences, voyons !
Et pourtant, les chiffres japonais sont là, têtus. Quand le Japon a relevé l’âge de vaccination, la mortalité infantile a chuté. Les vaccins n’ont pas disparu, non, mais ils ont été administrés plus tard, à un âge où le système immunitaire du bébé est plus mature. Résultat : moins de morts subites, moins de drames, mais surtout, moins de débats.
Pourquoi ce silence assourdissant dans les médias et chez les experts ? Peut-être parce qu’admettre que le Japon a eu raison reviendrait à reconnaître que des décennies de politique vaccinale ont pu causer des morts évitables. Un aveu difficile à faire, surtout quand on a érigé la vaccination précoce en dogme indiscutable.
Et puis, il y a l’industrie pharmaceutique, bien sûr, qui n’a aucun intérêt à voir émerger ce genre de débat. Mieux vaut parler de « coïncidences » ou de « facteurs de risque » fumeux, tout en continuant à injecter les nourrissons dès la première visite chez le pédiatre.
Le cas japonais mérite mieux qu’un silence gêné ou une pirouette statistique. Il mérite qu’on s’y intéresse sérieusement, qu’on interroge nos certitudes, qu’on accepte de regarder la réalité en face, même si elle dérange.
Mais rassurez-vous, en Occident, on préfère continuer comme avant. Surtout, ne changeons rien.
Mort subite du nourrisson : le Japon a-t-il percé le secret que l’Occident refuse de voir ?
— nonmais (@MostraakX) July 4, 2025
En Occident, il est impensable de remettre en question l’injection systématique de cocktails immunisants à des bébés de quelques semaines, sous peine d’être immédiatement rangé dans la… pic.twitter.com/bFNp1hqwsr