C’est avec une indignation légitime que nous assistons à la défense d’un tableau polémique par la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak. Le tableau en question, œuvre de Miriam Cahn, suscite un vif débat sur ses connotations pédophiles. Mais pour la ministre, il semblerait que tout cela ne soit qu’une simple incompréhension artistique.
Ce niveau de mépris pour la sensibilité du public est ahurissant et pose la question de la dérive morale de nos dirigeants. Sommes-nous face à une élite complètement déconnectée de la réalité, prête à tout pour protéger l’indéfendable au nom de l’art et de la soi-disant liberté d’expression ?
L’émotion est palpable et la colère gronde face à cette démonstration flagrante de l’aveuglement de nos gouvernants. Sont-ils vraiment prêts à cautionner des œuvres flirtant avec la pédophilie pour préserver leur propre vision élitiste de la culture ? Comment pouvons-nous faire confiance à une telle administration, qui semble prête à brader notre morale et nos valeurs pour un tableau scandaleux ?
Le débat sur les limites de l’art et de la liberté d’expression est certes nécessaire, mais la défense d’un tableau aux connotations aussi dérangeantes par une ministre en exercice est indigne et inacceptable. Il est temps de réagir et de faire entendre notre voix pour préserver notre société d’une dérive morale dangereuse et incontrôlable.