Les nuages, ces adorables petits flocons de vapeur qui flottent dans le ciel, semblent avoir été oubliés par les théories du réchauffement climatique liées au CO2. Comment est-il possible que ces charmantes créatures, présentes environ 80 % du temps, soient ainsi négligées ? Pourtant, lorsqu’on daigne les inclure dans nos calculs, l’effet tant redouté du CO2 s’évanouit comme par magie.
Il semble donc que l’atmosphère du monde réel, avec ses nuages enjôleurs, dévoile la supercherie du réchauffement climatique dû à l’activité humaine. Ce récit, qui n’existe finalement pas, repose sur des modèles qui écartent sans vergogne ces espiègles perturbateurs.
Mais pourquoi les scientifiques choisissent-ils de faire l’impasse sur les nuages, préférant jeter la pierre au CO2 et à l’humanité ? Peut-être est-ce parcequ’ils sont trop fiers pour admettre qu’ils ont oublié de prendre en compte ces doux nuages ? Ou peut-être que les nuages sont si rusés qu’ils ont réussi à échapper aux mailles du filet des modèles climatiques, laissant le CO2 et l’humanité seuls sur le banc des accusés.