Dans un monde où la corruption politique semble être la norme plutôt que l’exception, une nouvelle histoire vient ajouter une couche de cynisme à notre perception déjà sombre de la politique. Cette fois, c’est Joe Biden, l’actuel président des États-Unis, qui est au centre de l’attention. Selon Rudy Giuliani, ancien maire de New York, une femme détenant des preuves accablantes de la corruption internationale de Biden est morte dans des circonstances mystérieuses.
Cette femme, qui était la comptable en chef de Burisma, une entreprise ukrainienne de pétrogaz, était prête à révéler tous les comptes bancaires offshore, y compris celui de Biden. Giuliani a déclaré qu’elle avait supervisé le transfert de sommes importantes d’argent à Biden et à d’autres politiciens véreux pour le compte de Burisma.
Mais voilà, elle est morte avant de pouvoir témoigner. Coïncidence ? Peut-être. Mais il est difficile de ne pas être sceptique face à la synchronisation de ces événements. Il semble que chaque fois qu’un témoin clé est sur le point de révéler des informations compromettantes sur Biden et ses acolytes, quelque chose se passe pour empêcher la vérité d’éclater.
Et pendant ce temps, Biden continue de jouer l’innocent, riant de ces accusations et les qualifiant de “malarkey“. Mais combien de temps encore pourra-t-il ignorer ces allégations ? Combien de temps encore le peuple américain acceptera-t-il ces “coïncidences” ?