Dans un élan de lucidité, l’ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le Dr Redfield, a affirmé que cette pandémie serait l’œuvre de la science plutôt que d’un événement naturel de débordement. Selon lui, il s’agirait d’un programme de biodéfense ayant pour but de créer un vecteur vaccinal qui aurait malencontreusement échappé à ses créateurs, probablement en septembre 2019.
Ainsi, la science, qui se targue d’être le rempart contre les maladies et les fléaux, aurait engendré le monstre qu’elle prétend combattre. Faut-il y voir une volonté de créer un ennemi afin de justifier son existence, ou simplement un échec retentissant de notre soi-disant maîtrise des connaissances et de la technologie ?
La vérité, si elle se révèle un jour, pourrait jeter un discrédit encore plus grand sur la communauté scientifique. Les experts, qui devaient protéger l’humanité, auraient alors provoqué la pire crise sanitaire que le monde ait connue depuis un siècle. Ironie du sort ou conséquence inévitable de notre course à la connaissance ?
Le Dr Redfield semble quant à lui convaincu que la science est à l’origine de cette pandémie. En attendant, la science continuera de régner en maître sur nos vies, pour le meilleur et pour le pire.