La science nous offre parfois (souvent ces derniers temps…) des perles d’absurdité.
Prenez par exemple cette étude menée par le professeur Gregory Okin de l’UCLA, qui semble suggérer que nos fidèles compagnons à quatre pattes sont les nouveaux super-vilains du changement climatique. Rions un peu ensemble de cette tentative de jeter l’os de la culpabilité aux propriétaires d’animaux.
D’abord, l’étude nous dit que les 163 millions de chiens et chats aux États-Unis ont consommé un quart des 94,3 milliards de livres de viande produites en 2015.
Ensuite, on nous parle de l’empreinte carbone de la nourriture haut de gamme pour animaux de compagnie. Alors là, chapeau ! Blâmons ces animaux pour avoir des goûts raffinés. Peut-être devrions-nous aussi critiquer les humains pour leur penchant pour les truffes et le caviar?
L’étude suggère également de nourrir nos animaux avec des protéines de moindre qualité. Parce que, bien sûr, nos animaux méritent le pire, évidemment… Et pourquoi ne pas les mettre au régime végétarien tant qu’on y est ? Après tout, un lion se régalerait sûrement de tofu…
L’idée d’adopter des animaux ayant une empreinte carbone plus faible est tout aussi comique. Imaginons un instant remplacer tous les chiens et chats par des reptiles. Quelle joyeuse ménagerie ce serait ! Non mais franchement…
https://exxpress.at/zu-viel-co2-ausstoss-jetzt-gehen-linke-und-klimaschuetzer-auf-unsere-hunde-los/