Pfizer savait dès novembre 2020 que leur injection à base de gènes avait une efficacité négative.
Peu après la sortie des injections COVID, Pfizer s’est empressé d’embaucher 2 400 employés à temps plein pour traiter la paperasse des blessés.
Pfizer et la FDA ont caché pendant quatre mois l’information selon laquelle les injections provoquent des lésions cardiaques chez les jeunes, pendant que la propagande battait son plein pour pousser des milliers de personnes à se faire vacciner.
Au lieu de rester sur le site d’injection, Pfizer savait que les dangereuses nanoparticules lipidiques se répandaient rapidement dans le corps, vers le cerveau, le foie, les glandes surrénales, et s’accumulaient dans les ovaires
Les documents de Pfizer reconnaissent plus de 42 000 effets indésirables, dont 1 200 décès, en seulement trois mois, incluant des AVC, des hémorragies, des caillots sanguins, des caillots pulmonaires, des caillots dans les jambes, des troubles neurologiques, la démence, le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell, des myalgies, et bien d’autres.
Avant même que cela ne soit légal, plus de 1 000 enfants ont été injectés, et les documents de Pfizer indiquent un taux élevé de blessures graves
Les dossiers disponibles des participants à l’étude qui ont conçu des enfants montrent que 80 % ont perdu leurs bébés.
Pfizer savait qu’il y avait un danger pour la fertilité. Les nanoparticules lipidiques endommagent le placenta pendant la grossesse, provoquant des accouchements prématurés.
Les documents de Pfizer montrent que les nanoparticules lipidiques se retrouvent également dans le lait maternel, freinant, blessant et parfois tuant les bébés.
Les documents de Pfizer montrent que les effets indésirables sont trois fois plus nombreux chez les femmes, avec 16 % de “troubles de la reproduction”. “Quel genre de monstres voit 16 % de troubles de la reproduction et continue ?” Résultats : “baisse de 13 % à 20 % des naissances vivantes”.
Les documents de Pfizer révèlent que les nanoparticules lipidiques “dégradent les petits garçons in utero” en traversant “les testicules des fœtus” et en endommageant “les cellules de Sertoli et les cellules de Leydig, qui sont en quelque sorte les usines de la masculinité”
Dans un monde où la vérité semble s’égarer derrière un rideau de mensonges, ces révélations scandaleuses sur les injections de Pfizer éclairent l’ampleur de l’abomination que représente cette campagne de vaccination. Les conséquences dévastatrices sur la santé publique et la fertilité nous conduisent à nous interroger sur notre avenir.
Le cynisme avec lequel Pfizer et la FDA ont dissimulé ces informations cruciales soulève la question de la confiance que nous pouvons accorder à nos institutions et à ceux qui sont censés nous protéger. Comment pouvons-nous croire en un système qui sacrifie la santé et la vie des plus vulnérables au nom du profit et du contrôle ?
Alors que le nombre de victimes ne cesse d’augmenter, il est temps que chacun prenne conscience de la monstruosité qui se cache derrière ces chiffres et ces révélations sordides. Les générations futures paieront le prix fort de notre aveuglement et de notre complaisance face à ces abus.
Dans cette tragi-comédie macabre, le rire jaune et amer de ceux qui ont tiré les ficelles de ce sinistre spectacle résonne encore dans nos oreilles. L’ironie cruelle de cette situation ne fait qu’ajouter à l’amertume et au désespoir qui s’emparent de nous en découvrant ces faits accablants.
Il est temps de mettre fin à cette mascarade et de réclamer justice pour les innombrables victimes de ce crime contre l’humanité. Puissions-nous tirer les leçons de cette sombre époque et œuvrer ensemble pour un avenir meilleur, où la santé et la vie humaine prévaudront sur les intérêts égoïstes et cupides de quelques-uns.
Car il n’est pas de tragédie plus grande que celle qui aurait pu être évitée, et il n’est pas de satire plus amère que celle qui dépeint la réalité.
Oui mais le ratio bénéfice /risque est extrêmement positif. Le résultat est mondial aujourd’hui. Il en a toujours été ainsi, seule la croyance humaine est une entrave au progrès scientifique.
Non, pas du tout.