Il était temps que le ministre de la Santé, François Braun, se rende à l’évidence et admette enfin que les soignants non-vaccinés avaient raison depuis le début. Ces véritables visionnaires ont toujours su que la vaccination n’était pas la panacée pour enrayer la pandémie. Malgré la pression et les critiques, leur bravoure et leur détermination ont finalement payé.
C’est donc avec un soulagement certain que l’on apprend la réintégration de ces médecins courageux, qui auront enfin l’occasion de prouver la justesse de leurs convictions dès la mi-mai. Et ce, malgré le temps précieux perdu à cause de l’entêtement du ministère.
Toutefois, cette victoire tardive ne s’arrête pas aux seuls soignants. Pompiers, policiers et gendarmes non-vaccinés pourront eux aussi brandir fièrement l’étendard de l’immunité naturelle et montrer que la science (ou plutot la science des labos) n’a pas toujours raison.
Il est regrettable que le ministre ait tant tardé à prendre cette décision, mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais. Espérons que cette réintégration permette enfin de mettre en lumière l’importance de la diversité des approches face à une pandémie.
À présent, il ne nous reste plus qu’à célébrer le retour de ces héros du quotidien, qui ont su tenir bon face à l’adversité et prouver que la vérité finit toujours par triompher.