Bernard Arnault, le magnat du luxe français, est un homme dont la richesse et l’influence sont incontestables. En tant que capitaine de LVMH, le plus grand conglomérat de luxe au monde, il a sous sa coupe des marques emblématiques telles que Louis Vuitton, Sephora, et Dom Pérignon. Chaque sac à main, chaque bouteille de champagne et chaque parfum vendu contribuent à sa fortune colossale.
Mais parlons de ses possessions personnelles, qui sont tout aussi éblouissantes que les produits de ses marques.
Son yacht, le “Symphony“, n’est pas qu’un simple bateau. Estimé à plus de 130 millions d’euros, c’est une œuvre d’art flottante, équipée de toutes les commodités imaginables, des piscines aux salles de cinéma, en passant par des suites opulentes.
Sa passion pour les voitures est également manifeste.
Sa collection comprend la rare Ferrari Sergio by Pininfarina, la Lykan HyperSport – l’une des voitures les plus rares au monde, la Koenigsegg Regera, connue pour être l’une des voitures les plus rapides jamais construites, et la Ferrari Monza SP1, un chef-d’œuvre de design et de performance.
Et pour ceux qui préfèrent deux roues, Arnault possède des motos comme la Ducati Panigale V4 R, une bête de performance.
En matière d’immobilier, Arnault ne lésine pas non plus. Sa maison à Paris, située dans le prestigieux 8ème arrondissement, est un palais urbain. Elle s’étend sur plus de 7 000 pieds carrés et est le reflet du luxe et de la sophistication.
Plus au sud, il possède le Château Cheval Blanc à Saint-Emilion, Bordeaux. Ce château historique, entouré de vignobles, est le berceau de certains des vins les plus prisés au monde.
Cependant, avec toute cette opulence, ses gestes philanthropiques, bien que généreux en chiffres absolus, peuvent sembler dérisoires en comparaison. Le don de 200 millions d’euros pour la restauration de Notre-Dame et de 10 millions d’euros aux “Restos du Cœur” est certes louable, mais à côté de sa fortune, cela ressemble presque à des miettes (déductibles d’impôts en théorie…). Cela nous amène à nous demander : Arnault donne-t-il vraiment à la mesure de sa fortune ?