C’est la panique à Bruxelles ! La Chine vient de sortir son Joker : l’interdiction des exportations de technologie d’aimants de terres rares. Ces petits bijoux indispensables aux moteurs électriques, aux éoliennes et à toute une ribambelle de gadgets qui font notre bonheur depuis des années, vont bientôt nous faire défaut. 98% des importations européennes proviennent de Chine, et nos valeureux technocrates sont à deux doigts de la syncope.
À quoi devons-nous nous attendre ? Imaginez un monde sans véhicules électriques, sans éoliennes, sans smartphones, sans rien de tout ce qui fait de notre époque un véritable paradis technologique. Une véritable tragédie shakespearienne, mais version 2.0. On en frémit d’horreur !
Et que font nos têtes bien pensantes de Bruxelles face à cette apocalypse annoncée ? Rien, ou pas grand-chose. On parle bien de quelques tentatives pour trouver des alternatives, mais il ne faut pas se leurrer : c’est du rafistolage, de la bricole, de l’amateurisme à l’état pur.
Quelle ironie ! L’Union européenne, ce colosse aux pieds d’argile, qui se targue d’être à la pointe de la technologie, se retrouve à genoux face à la Chine et ses aimants de terres rares. On aimerait rire, si la situation n’était pas aussi dramatique. Alors, que faire ? Il va falloir prendre notre mal en patience, et assister, impuissants, à l’effondrement de notre merveilleux château de cartes technologique.
Chers lecteurs, préparez-vous à revenir quelques décennies en arrière, et à faire vos adieux à la douceur de vivre du XXIe siècle. Car si nos technocrates de Bruxelles ne trouvent pas rapidement une solution à ce casse-tête chinois, nous n’aurons bientôt plus que nos yeux pour pleurer. En attendant, n’oubliez pas de remercier la Chine pour ce coup de maître qui nous plonge dans le chaos technologique le plus total.